COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat (3/3)
Datte: 04/04/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... langue.
J’ai vu ses chicots.
J’ignore s’il avait une femme, je sais que je me serais sauvée en courant s'il s'était approché de moi.
Et dire que nos enfants jouaient dehors, vous vous rendez compte le risque qu’ils ont couru.
Contrairement à ce que j’avais pensé quand je me faisais baiser, il va sans dire que je me tais.
Tout le monde doit ignorer mes déviances, surtout cette femme qui ignore ce que le mot « baiser » veut dire.
Mais je ne peux m’empêcher de repenser à nos folies sexuelles.
Dommage que je n’aie pas pu faire plus, quelle conne d’avoir refusé qu’il me sodomise !
Maintenant je le regrette.
Malgré la raclure que je suis devenue, je conduis Romain à l’école.
Je rejoins ma voisine, cette femme qui ignorera toujours ce que se faire défoncer veut dire, j’entre chez elle.
Ce soir mon fils trouvera un petit chaton roux et blanc dans un panier.
Je cherche peut-être à me faire pardonner mes débordements.
Tout ce qui est sûr, c’est qu’à partir de ce jour, c’est moi qui sexuellement apprends à Sylvain, mon mari, le Kâma-Sûtra, allant même jusqu’à m’empaler sur sa verge pour qu’il me sodomise.
Mais à ce moment, fermant les yeux, c’est la verge gigantesque de mon « sans domicile fixe » ...
... que je vois me pourfendre.
Hormis cela, je redeviens la petite femme aimante.
Quelques jours après, je sors pour une nouvelle fois pour aller conduire Romain à l'école.
Il voulait emmener son chat dans sa classe pour le faire voir à sa maîtresse.
Voyant passer Geneviève me faisant signe, je me prends à rêver.
Où peut-elle aller ?
Connaissant la coquine qu’elle est, n’aurait-elle pas trouvé chaussure à son pied ?
Demain je dois prendre le café chez elle, je lui demanderai certainement de m’emmener avec elle dans ses cabanes de chantier ou autres endroits puisque mon squat n’est plus que tas de gravats.
Je vais jusqu’au centre-ville, un café se trouve en face du commissariat où je vois entrer et sortir toutes sortes de gens, mais hélas pas celui dont jusqu’à la fin de ma vie, j’ignorerais jusqu’à son nom.
Je rentre chez moi, quittant ce bar cinq heures plus tard, un nombre de café impressionnant au fond de mon estomac, à la place du sperme que je buvais les autres jours.
Irais-je avec Geneviève ?
Ceci est une autre histoire.
Peut-être l’écrirais-je si j’ai connu de nouvelles perversions dans ma vie de femme devenue une salope, une femelle bonne à se faire « saillir » dans des endroits désastreux !