1. COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat (3/3)


    Datte: 04/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... folle, quand ce matin, c’est en peignoir court mais épais, simplement refermé sur mes seins et sans ma petite culotte comme les autres jours, que je le rejoins.
    
    Un instant de lucidité, me fait penser qu’en passant le grillage, si l’une des bourgeoise de notre quartier me voit, elle aura une vue magnifique sur ma chatte, mais je n’en ai cure, le sexe animal m’attend.
    
    Si je suis dans cette tenue outre le fait que je sais gagner du temps pour qu’il me pénètre, je dois dire que les affaires susceptibles d’être brulées ont toutes quittées mon armoire.
    
    Une nouvelle fois, il me baise sans se poser la moindre question.
    
    Il a envie de moi, il a envie de se soulager.
    
    J’ai de plus en plus honte d’être la femme adultère que je suis devenue, mais c’est de plus en plus jouissif et je suis à deux doigts de lui demander de m’enculer.
    
    Geneviève, dans ses confidences, m’a dit qu’elle le faisait, qu’elle aimait cela avec ses amants et que je devrais essayer, quand elle me faisait cette suggestion c’était à mon mari qu’elle pensait.
    
    Mais le morceau à faire passer dans ma rosette est si gros que je remets ma demande au lendemain.
    
    Et si je pense à ça, c’est que dans ma tête, malgré la crasse, les odeurs, je serai demain de nouveau sa chienne de plus en plus lubrique et même si cela déplaise aux culs bénis.
    
    Je viens d’avaler son sperme, une nouvelle fois abondant avec de plus en plus de délectation.
    
    C'est la suprême preuve de mon amour.
    
    Je suis de nouveau dans du ...
    ... coton quant que le quitte et au moment ou je franchie le portail de notre maison, je reviens à ma vie de tous les jours.
    
    Le bruit d’un moteur me fait avoir la peur de ma vie.
    
    C’est un camion qui vient livrer les congelés chez une voisine à l’autre bout de l’impasse.
    
    Je me revois à poil, mon peignoir dans les bras.
    
    À la vitesse où il me croise, il ne peut rien avoir vu, je m’engouffre chez moi.
    
    Une nouvelle fois comme chaque jour, je mets le chauffe-eau sur marche forcée afin que Romain et Sylvain ait de l’eau chaude ce soir, car je vide sur mon dos les 300 litres afin d’enlever la crasse que j’accumule dans ma tête.
    
    Ce matin, je sors pour conduire Romain comme chaque matin, dans ma tenue identique au bourgeoise dont je parlais un peu plus haut.
    
    La rue est en effervescence, une pelleteuse est en train de défoncer le portail du squat.
    
    La maman de Lionel me rejoint, venant jusqu’à moi.
    
    • Enfin, ils détruisent cette horreur, les héritiers se sont mis d’accord, c’est une banque qui va être construite.
    
    Je suis à deux doigts de hurler qu’il y a un homme et le chien Brutus à l’intérieur !
    
    • Vous vous rendez compte, les gendarmes sont venus.
    
    Ils ont emmené un SDF avec son chien, il était recherché pour diverses affaires louches, surtout de petits larcins.
    
    Si vous l’aviez vu, une horreur, il était gigantesque, il est passé près de moi et j’ai senti sa puanteur, vous auriez vu ses vêtements.
    
    J’ai eu la peur de ma vie, il m’a fixé et tiré la ...