1. COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat (3/3)


    Datte: 04/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... une impatience non feinte le moment où elle va être en moi.
    
    Il la prend en main, fouille et entre avec une facilité qui m'interroge encore.
    
    Pourtant dès que j’ai franchi le grillage, j’ai senti qu’elle coulait.
    
    Je suis si trempée prête à être sailli !
    
    Oui, j’emploi bien le verbe « saillir » notre couple est si bestial que c’est le seul verbe employable.
    
    Comme je l’ai dit, je suis pendue à son cou.
    
    Il entre en moi et je me laisse glisser sur sa tige.
    
    Il ne dit rien, il me tient comme s’il voulait que mon cerveau s’imprègne à jamais de cette copulation et que je sois définitivement sa femelle.
    
    Femelle, je ne me suis pas trompée en employant ce verbe…
    
    Mes jambes ayant du mal à faire le tour de sa taille, je m'agrippe à lui pour que son sexe soit au plus profond de moi.
    
    Il est si gros et si long, c'est terrible, mais n’est-ce pas ce que je suis venue chercher.
    
    Ma chatte est bien écartée, elle a retrouvé toute son élasticité pour que son sexe entre là où ça me fait du bien.
    
    Ma poitrine est écrasée contre la sienne, aussi fort qu’hier, mieux même !
    
    La position et les mouvements qu’il fait en me faisant monter et retomber sur sa verge m’apportent ce que je suis venue chercher, des moments de jouissance extrême.
    
    Je gémis, je crie, je griffe son dos avec mes ongles au risque de le marquer.
    
    Je veux être une salope, sa salope et je crois que j’y arrive sans aucun problème.
    
    Ceci jusqu’au moment où il éjacule et que, revenue physiquement ...
    ... les pieds sur terre, ainsi que mon cerveau après un dernier baiser, je me sauve en courant.
    
    C'est comme si j'avais une grande honte de ce que j'ai osée faire alors que c’était ce que j’étais venue chercher.
    
    Comme toute femme dans ma situation, je suis tiraillé par le bien et le mal, encore une réminiscence du temps ou on me faisait fréquenter les curés.
    
    • À demain !
    
    Ces deux mots sont la preuve de l’acceptation que je me fais d’une femme soumise à un homme par le cul plus que par les sentiments.
    
    Après avoir été rechercher mon fils, il est là pour me ramener à la réalité et dans mes moments de lucidité très bref depuis que j’ai été séduite par cet homme, redevenir la femme mariée que je suis.
    
    Il est sûr que la catin gouvernée par la luxure, dans ce squat, avec un homme venu d’un autre monde que le mien, prends de plus en plus de place.
    
    Pendant trois jours de suite, j’amène à manger à mon mâle.
    
    Mâle, encore une preuve que je cherche des « saillis » dans cette pièce qu’à une autre époque, j’aurais fui, comme nos anciens fuyaient les villes atteintes par la peste, alors qu’ils étaient déjà infectés.
    
    Et jour après jour, même si je ne restais que le temps d’un coup de queue me remplissant la chatte éclaboussant mon utérus, je revenais dans mon squat au contact de cette bête humaine.
    
    Je dis bien mon squat, celui que je pourrais m’accaparer pour devenir la "roulure" de mon quartier.
    
    Cela m'a effleuré l'esprit plus d'une fois.
    
    Je suis devenue bien ...