Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... effet de faire jaillir sa cuisse gainée de bas blancs dentelés. M arrête son mouvement afin de maintenir sa cuisse bien en vue. Histoire de faire monter la température.

— Oh, ma chérie tes bas sont aussi blancs que les miens sont noirs, le contraste avec nos robes… oh là là… et ta peau fine qui s’échappe de ce présentoir me donne envie de voir plus haut encore. Jilou, qu’en penses-tu ?
— J’en pense que, en guise d’apéritif, on ne peut pas faire mieux. C’est un régal de mise en bouche.
— Doucement, les amis… Mais vous êtes de vrais obsédés… Bon, moi aussi, je trouve cela très beau et d’ailleurs j’aimerais bien pouvoir faire un peu de comparaison. Mais nous sommes au restau, rétorquai-je.
— Oh, oh ! Notre ami est un peu jaloux et, lui aussi, beaucoup voyeur. Tu ne trouves pas, ma chérie ?
— Si, si, mon Jilou. Mais, qu’à cela ne tienne, je vais de ce pas réparer l’injustice dont ce gentilhomme se plaint, avec votre accord, mon seigneur et maître ?
— Accord donné avec le plus grand des plaisirs, mais avec force discrétion, car le dîneur de la table du fond a, je crois bien, lui aussi bien envie de comparer.

Véro n’a aucun mal, en se décalant sur la banquette, à remonter sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses. Elle livre, à nos regards lubriques, la vision de ses bas noirs tendus par un porte-jarretelles blanc. Puis, elle écarte sensiblement les jambes pour que nous puissions tous les trois nous apercevoir qu’elle a oublié de mettre un effet vestimentaire.

La vue de ...

... son sexe nu aux grandes lèvres entrouvertes me fait frémir de bien-être. M quant à elle se penche par-dessus la table, vicieuse, pour apercevoir ce qui vient de m’émouvoir autant.

— Le second acte après le repas… si second acte il y a ! nous informe Véro.

Elle a juste le temps de recouvrir ses cuisses avant que Jacques ne nous serve l’apéritif.

— Vous avez choisi ? Je peux prendre votre commande ?
— Euh… Non, nous avons… engagé une discussion et n’avons pas pris le temps de regarder la carte. Reviens dans deux minutes, Jacquot, s’il te plait, merci.
— Eh bien ! ma belle, tu as rangé ton magnifique matériel juste à temps ! Tu aurais pu être prise en flagrant délit ! Moi, au moins, je suis sérieuse et discrète. Il n’a pas pu se douter de quoi que ce soit, nous dit M.

Et je demande :

— Que voulez-vous manger, les enfants ? Pour moi, ce sera sole meunière et steak tartare. Et toi, Jean-Louis ?
— Bonne idée, je vais prendre la même chose.
— Idem pour moi. Et pour notre charmante Véro ? demande M.
— Je ne vais pas me faire remarquer ; donc, la même chose pour moi.
— Parfait, c’est plus simple pour le vin. Je vous propose du Chablis. Qu’en penses-tu, Jean-Louis ?
— Très bien pour moi, Véro aime aussi et je sais que M en raffole.
— C’est parce que je sais que tout le monde l’apprécie que j’ai choisi ce vin.

Jacques prend notre commande. Nous devisons, plaisantons et même, rions au détriment de certains clients qui nous paraissent plus moches que beaux, plus ...