Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... hommes seuls, eux aussi. Largement espacés les uns des autres. Sur la scène, une boule de corps dénudés se roule et se déroule. Des soupirs montent jusqu’en haut du baldaquin et nous reviennent aux oreilles, faisant monter la température corporelle de tout le monde. Impossible de reconnaître qui que ce soit pour le moment.

Je fais comprendre à mon ami que je suis intéressé par une femme blonde, assise un peu à l’écart. Je me lève, me dirige vers « ma proie », la bite au garde-à-vous.

— Me permettez-vous de prendre place à vos côtés ?

Elle quitte la scène des yeux, son regard va de ma tête à ma bite et de ma bite à mon visage. Une légère rougeur empourpre ses joues ; de la gêne ? À moins que ce ne soit l’ambiance de cette salle toute de rouge tendue qui illumine ce visage adorable. D’une voix très douce et suave, elle me répond, comme je l’espérais : « Avec plaisir » et ses yeux partent se repaître à nouveau du spectacle central. Je prends place à son côté, laissant l’espace de deux ou trois mains à plat entre nos jambes. Je tourne la tête pour découvrir de plus près à qui j’ai vraiment affaire… Cheveux blonds (je l’ai déjà dit), trente-cinq ans maximum, poitrine 90C, à vue d’œil. Ses seins bien ronds me font penser à des pommes à croquer. Les mamelons dressés, durcis au centre d’aréoles légèrement colorées, des groseilles sur une assiette à dessert. Son ventre plat, son petit nombril creux percé d’un anneau tout fin. Les cuisses longues et fines à peine resserrées ...

... me permettent une vue sur son mont de vénus lisse comme au premier jour ainsi qu’à la naissance de son petit sillon d’amour.

Jean-Louis, quant à lui, sa lubricité l’a conduit jusqu’entre deux couples qui lui ont obligeamment cédé suffisamment de place entre les deux femmes. L’une jeune, très jeune, belle, vingt-cinq au max. L’autre dans la cinquantaine, mais top nickel, classe et élégante bien que dans le plus simple élément. Leurs hommes sont assortis tant à l’âge qu’à l’aspect physique. Beaucoup plus direct que moi, mon ami, à peine assis, pose ses mains sur les cuisses qui l’encadrent et entame de douces caresses. Les cuisses s’écartent de chaque côté laissant toute latitude aux mains de partir explorer des régions chaudes et humides. Je laisse mon ami là, à son plaisir, et retourne vers le mien.

Détournant son regard de la scène où deux belles jeunes femmes se rendent dans un soixante-neuf du feu de Dieu de tendres caresses à leurs minettes assoiffées de sensations, ma voisine me dit :

— Qu’elles sont belles ! Que leur plaisir est beau ! Je les envie !

Sur ces mots, sa main vient prendre mon sexe tout dur et douloureux. Elle le caresse doucement, avec affection. Puis elle la passe entre mes cuisses, palpe mes bourses pleines. Je ne la laisse pas en reste. À son premier geste, je me suis tourné vers elle prenant un sein dans chacune de mes mains. Je les palpe, les presse, les soupèse, les compresse l’un contre l’autre. Je me penche et, de ma langue tendue, lèche ...