Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... doucement ces pointes roses, les humidifie. D’un souffle de ma bouche je la fais frémir et se cambrer. Sa main se resserre sur ma bite, me presse, me comprime. Ses cuisses s’écartent. Elle pose une main derrière ma tête, me plaque la bouche sur ses seins soyeux. De l’autre, elle prend ma main droite et l’amène à son bijou caché. Écartant davantage encore ses cuisses, elle me fait caresser son sexe du haut de la fente jusqu’à son anus. Elle est trempée de mouille.

— Fais-moi jouir, branle-moi ce petit bouton sorti de son capuchon pour mieux s’offrir à toi. Elles sont belles comme des déesses ces amazones libérées. Elles m’excitent comme toi tu m’as excitée en venant à moi la verge tendue. Caresse-moi… Glisse-moi tes doigts… Fais-moi jouir comme je vais te faire jouir !

Mon majeur s’immisce entre ses grandes lèvres, je sens son clitoris (assez long) durci par l’excitation. Je descends un peu plus bas, vers la source, y plonge mon doigt juste au bord et le remonte longeant sa fente jusqu’à retrouver sa petite bite fragile. Gluant de sa cyprine mon doigt badigeonne son appendice sexuel, tourne autour. Je reviens à la source, y trempe l’index et le pouce. Son liquide coule entre ses jambes. Je retourne sur son bouton sensible, le prends entre mes doigts trempés, je le branle doucement puis plus rapidement. Ma partenaire respire de plus en plus vite, frissonne. Elle me masturbe au même rythme que je la branle. Ma bite palpite, je vais venir. Elle frissonne, ouvre encore ...

... plus grand son compas. Sentant venir notre jouissance commune, je délaisse son clitoris et subitement lui insère trois doigts dans la chatte, sans ménagement, sans douceur.

— Aaaaah ! Ouiiiiii… je jouiiiis… Plus fort… encooooore…

Au moment même où elle se tend, mon plaisir éclate. J’éjacule sur ses seins, sur ses cuisses. De longues giclées blanches coulent sur son ventre. Nous restons ainsi, un long moment, moi mes doigts dans son vagin, elle tenant toujours ma bite, maintenant ramollie. Ayant repris nos esprits, elle s’approche de ma joue et y déposant un baiser tout en prenant mes couilles en main :

— Merci, c’était très fort, très bon… Regarde-les elles jouissent sans fin. J’aimerais les rejoindre, mais je n’ose pas. Jamais je n’ai gouiné… J’en ai envie mais je n’ose pas.
— Tu me parais pourtant libérée.
— Oui, avec les hommes… c’est plus facile… J’ai l’habitude et c’est la nature. J’ai eu des aventures avec des petits copains, avant de me marier. Je me suis mariée avec le dernier, le seul qui m’ait jamais fait monter aussi haut dans le plaisir, puis mon homme a décidé de parfaire mon éducation. C’est un libertin depuis longtemps ; me sachant apprécier les choses du sexe, il m’a appris à séduire, à me faire désirer, à avoir envie, à m’offrir, à me donner. C’est pourquoi nous sommes ici assez fréquemment. Habituellement nous ne nous quittons pas, profitant des plaisirs de l’un et de l’autre, participant même à rajouter du piment.
— Et… tu n’oses pas embrasser une ...