1. Fin de soirée au Sauna


    Datte: 24/04/2020, Catégories: ff, fhhh, grp, couple, extraoffre, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, échange, Auteur: L'Homme de M, Source: Revebebe

    ... la bite avec sa chatte ? J’ai hâte de contourner l’endroit afin d’accéder là où sont les femmes.
    
    Nous débouchons, Jean-Louis et moi en même temps, dans côté « enclos des femmes ». Nous nous asseyons confortablement dans un fauteuil, prenons le temps de jouer aux voyeurs. Ma main se pose sur ma bite qui commence à gonfler. Je me caresse gentiment.
    
    Certaines femmes sont à genoux, la bouche occupée. D’autres accroupies ou encore debout branlant énergiquement les forets de chair. Deux hommes, profitant de l’occupation de ces dames, ont pris le parti de rendre le plaisir qu’elles procurent aux autres en leur malaxant les seins, caressant le cul, la chatte. Ils écartent des fesses, lèchent des petites rondelles. L’un des deux caresse, de sa bite, des sillons largement offerts et visiblement luisants d’humidité.
    
    Subitement, un coup de coude dans les côtes me fait revenir sur terre. Jean-Louis, d’un signe de tête, me montre le fond de la pièce tout en souriant. Un homme, d’au moins soixante-cinq ans, à la calvitie prononcée, est en train d’œuvrer avec sa bouche sur une bite noire, longue et épaisse et de sa main droite il branle une bite blanche. Tout à son « travail », concentré, il lape ce gros pieu noir tel un esquimau au chocolat, embouche le gland violet jusqu’au frein et le tète goulûment en faisant passer ses lèvres sur cet étranglement sensible. Sa main monte et descend sur la tige blanche, il augmente la vitesse de ses mouvements, la réglant sur le rythme de sa ...
    ... bouche. Il cesse tous mouvements, la verge noire est tout au fond de sa gorge. Sa main a pris les couilles poilues, les serrant jusqu’à ce qu’un long jet de sperme gicle jusqu’à près de deux mètres, suivi d’un autre puis d’un troisième (moins performants au fur et à mesure des éjaculations). Le suceur hoquète en retirant sa bouche, un filet blanc au coin de ses lèvres, puis il reçoit une giclée en plein visage et une autre sur le torse et encore une autre. Il lâche les deux sexes puis d’une main essuie son visage et de l’autre étale le foutre sur son abdomen tout poilu. Souriant en nous regardant, il se relève, se dirige vers la sortie non sans admirer ces femmes en pleine « discussion ». En nous croisant, il nous dit : « Que c’est bon… que j’aime ça ! » La jouissance du sucé et du branlé aurait-elle été aussi intense s’ils avaient vu qui s’occupait d’eux ?
    
    Ma question n’aura pas de réponse. Aucune de ces six femmes en action n’étant notre moitié, nous reprenons la recherche, nos bites fièrement dressées. Il ne nous reste plus qu’un salon à visiter, elles sont là, c’est certain. À moins que… À moins qu’elles ne soient ressorties de cet antre diabolique et qu’elles nous attendent tranquillement dans le hall d’entrée. Cela nous paraît improbable mais, sait-on jamais ce que femme pense et ressent vraiment ?
    
    Nous entrons dans l’espace « des femmes », prenons place sur la banquette face à la scène. D’un regard circulaire nous dénombrons trois couples, cinq femmes seules et trois ...
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