Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... intouchable. D’accord ?
— Je m’en remets totalement à toi, mon Jean-Louis. J’ai bien apprécié le jacuzzi, ses baigneuses aussi. La douche, un peu fraîche, m’aidera à redevenir présentable.
— Ici, tu sais, être présentable c’est être en érection ! La seule manière de prouver l’intérêt que nous portons à ces dames, le garde-à-vous. Elles viennent ici uniquement pour les sexes dressés.
— Oui, bien sûr, suis-je bête ! Mais enfin, débander, ça ne fait pas de mal et ça permet de repartir de plus belle.

Douchés, séchés, ceints de nos serviettes, nous nous rendons au bar derrière lequel, un large sourire aux lèvres, les yeux pétillants de malice, une femme grande et svelte nous attend. Une nuisette rouge-orangé, transparente, recouvre ses adorables épaules et descend jusqu’à mi-cuisse. Largement ouverte sur le devant ce qui nous permet de voir, au gré des mouvements, une magnifique paire de seins nus dodelinant légèrement au rythme des gestes de leur propriétaire ainsi qu’un adorable nombril agrémenté d’une perle.

— Bonsoir, messieurs, j’espère que vous appréciez votre début de soirée en notre établissement. Que puis-je vous offrir ? Champagne, cocktail avec ou sans alcool, ou « le secret de Max » ?

Tout à nous repaître des formes généreuses de la barmaid, nous tardons un peu à répondre.

— Monsieur Jean-Louis, quand vous aurez fini de me détailler des pieds jusqu’aux seins, vous me direz ce qui vous ferait plaisir.
— Ce qui me ferait plaisir… ce qui nous ferait ...

... plaisir… Ce serait vous voir faire un petit demi-tour sur vous-même afin de nous offrir la vue sur votre face sud. Nous aimerions être certains que vos fesses sont égales à vos seins. Charnues, rebondies, bien séparées par la ficelle de votre string. Nous ne vous répondrons qu’après !
— Maître-chanteur, vous n’êtes qu’un maître-chanteur… Mais bon, je vais accéder à votre demande pour votre plaisir et pour le mien, encore plus grand. J’adore que l’on me complimente sur mon corps. C’est beaucoup plus agréable de s’entendre dire des choses cochonnes par de beaux hommes que d’en voir, les yeux exorbités, la bouche bée, bavant quasiment sans pouvoir dire un mot.

Levant un bras au-dessus de sa tête, l’autre entourant sa taille, notre hôtesse pivote doucement sur elle-même. Nous tournant le dos, elle s’arrête un instant, nous laissant largement le temps de nous régaler de ce cul royal, perché tout en haut de ses jambes longues, affinées encore plus par le port de chaussures à talons d’au moins de vingt centimètres. Puis elle reprend tout aussi lentement son demi-tour, nous fait face en tenant son sein gauche dans sa main en forme de coupelle.

— Splendide, magnifique… Vous êtes tout simplement belle, Madame !
— Sylviane… Monsieur Jean-Louis, vous auriez pu indiquer mon prénom à votre ami… Un très mauvais point pour vous.
— Je me demandais, là, si votre petite minette est toute lisse, ou bien agrémentée d’un pubis orné d’une toute petite touffe de poils courts bien taillés.
— ...