Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... baiser lécheur dans le cou, elle me dit :

— J’espère que, dans la soirée, vous viendrez la visiter ma grotte secrète. J’ai envie de vous l’offrir, de vous sentir au fond. Mon copain, le grand blond en face, celui qui fourrage la chatte de la plantureuse et mature brune, m’a fait signe de son accord.

Pour lui faire comprendre le mien, je lui empaume le sein gauche en passant derrière son dos et sous son bras. Un sein rond, petit mais bien rempli, le mamelon dur et dressé. Je le pince ostensiblement, elle en frémit de bien-être, prend ma main en me faisant comprendre qu’elle désire que je lui presse tout son sein fortement. Elle se cambre aussitôt puis se détend aussi vite. Je crois qu’elle vient de jouir.

Tout en m’occupant de la petite, mon regard est plongé dans celui de ma voisine de droite. La pression de l’eau entre ses cuisses la bouleverse, sa langue lèche ses lèvres, elle soupire, me souriant en s’abandonnant totalement à son plaisir.

Jean-Louis, lui, il tète goulûment cette jeune femme à la poitrine plantureuse tout en lui fourrant la minette de ses doigts. Pendant ce temps, un homme a la main posée sur la cuisse de la femme, visiblement pour mieux l’écarter. L’homme et la femme ne se quittent pas des yeux et se sourient. Ils sont en couple, j’en suis persuadé… et madame branle vigoureusement Jean-Louis qui lui dévore les seins comme un affamé.

À ce moment, je me demande où peuvent bien être Véro et M. Entre quelles mains sont-elles ? Que font-elles en ...

... ce moment ?

Mais je suis rapidement ramené à la réalité, ma voisine de droite, comme promis, vient de me reprendre dans sa main. Elle me branle avec une vigueur et une dextérité hors pair. Sa main refermée sur ma bite descend jusqu’à mes couilles en tirant le prépuce jusqu’à la limite de la douleur. Elle remonte enserrant pendant quelques secondes mon gland gonflé à bloc, puis redescend, puis remonte, encore et encore, m’amenant à la limite de l’éjaculation.

— Adorable branleuse, ne me fais pas jouir maintenant, j’ai envie de pouvoir profiter complètement de cette soirée.
— Dommage, j’aurais aimé voir gicler ton sperme en volutes blanchâtres dans cette eau, les autres femmes en auraient profité sans le savoir. Mais tu ne perds rien, je te ferai jouir plus tard, là où tu voudras.

D’un regard, je fais comprendre à Jean-Louis que je désire quitter ce bassin. Nous nous levons, caressant tendrement la joue de nos partenaires d’un moment, gravissons les quatre marches, suivis par des regards attendris, faisant profiter et profitant nous-mêmes d’une nouvelle exhibition de nos attributs, cette fois, fièrement redressés. Nous reprenons nos serviettes, nous entourons notre ceinture de cette éphémère parure.

— Suis-moi, nous prenons une petite douche puis nous nous séchons au « vent du désert », ensuite nous irons à la recherche de nos petites femmes non sans nous être fait servir et déguster un petit cocktail. D’ailleurs, je voudrais vérifier si la barmaid est réellement ...