Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... Deuxième mauvais point. Votre question restera sans réponse. Imaginer est souvent plus excitant que voir. De toute façon, Max, mon seigneur et maître m’a expressément recommandé de ne point me livrer, dans notre établissement, autrement que je suis actuellement. Par contre, ailleurs il en va différemment. Max, mon mari me laisse libre de mes envies. Peut-être nous rencontrerons-nous, un jour…
— Dommage, mon regard sur votre intimité m’aurait amené au nirvana… Revenons sur terre, je vais noyer mes regrets dans un autre « Secret de Max ». Et toi, mon grand ?
— Très logiquement, il ne serait pas nécessaire d’aphrodisiaque après le superbe spectacle que nous a offert Sylviane, mais je tiens à jouir au maximum de son… établissement. Donc pour moi aussi un « Secret » qui m’aidera à l’atteindre « Ton nirvana ».
— Dépêchons-nous, mon grand, j’ai hâte de voir comment nos belles se comportent en notre absence. Peut-être s’ennuient-elles ?

Nous prenons, cependant, tout notre temps pour boire notre cocktail ou pour profiter un peu plus des courbes graciles de Sylviane ?

Nous redescendons le petit escalier, au passage de la salle SM, nous entendons des hoooon…, des hoooou à chaque claquement qui résonne dans la pièce tout en cuir. Un léger tintement de chaines se fait entendre après chaque plainte puis : « Tenez, vilaine fille, cela vous apprendra de ne pas obéir à mes désirs… Le prochain coup de cravache, je vais vous l’administrer, pour le plaisir de ces messieurs-dames, ...

... sur votre chatte tout humide ».

— Je ne crois pas que nos petites vicieuses se trouvent ici, me dit Jean-Louis, allons voir la pièce de satin.

Nous croisons, à ce moment, un homme d’un certain âge tenant une chainette à la main. À l’autre bout de la chainette, malgré la pénombre, nous distinguons une femme nue, les bras tendus en avant, prisonniers de menottes de velours rouge, ses gros seins ballotant au rythme de ses pas.

— Messieurs, veuillez m’aider à punir cette salope que je viens de surprendre suçant un homme tout en se faisant fouiller par un autre, et cela sans ma permission. Veuillez, je vous prie, fesser son joli cul de vicieuse.

Bien entendu, nous avons « rendu ce service » en passant chacun trois ou quatre petites claques sur ce cul magnifiquement rebondi pour une quinquagénaire, sans oublier de lui passer un doigt sur et dans sa chatte dégoulinante de bonheur. À cette caresse, la pècheresse ne put que soupirer de bonheur.

— Ah, la salope… même quand on la fesse, elle prend du plaisir ! Attends, sale petite suceuse, attends, je ne suis pas certain que tu seras excitée, suspendue par les bras avec les jambes écartées, quand le martinet zébrera tes cuisses et ton cul. Tu me supplieras d’arrêter la punition et me jureras de demander mon autorisation la prochaine fois.

Laissant là cette scène de ménage, nous continuons la recherche de nos femmes.

— Connaissant ma petite M, je parierais qu’elles sont sur ce très grand lit, dont tu m’as indiqué la ...