Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... soit facile de sourire en suçant un dard planté jusqu’au fond de la gorge.

— Vous êtes magnifiques, lui susurre Jean-Louis.

À la deuxième porte, le spectacle est inversé. Madame, bien penchée en avant, se fait lécher copieusement sa petite rondelle. Elle tourne la tête, nous sourit, se passe une langue gourmande sur les lèvres et frétille des fesses. Notre venue l’aurait-elle excitée ? À mon tour en refermant la porte je les complimente à la façon de mon ami.

— Si je peux me permettre, me dit Jean-Louis, allons directement au bassin. J’adore voir des femmes lever les yeux lorsque je suis juste au-dessus d’elle. Les voir apprécier mes attributs me valorise.

Je dois reconnaître qu’il a raison. Je n’avais jamais expérimenté cette sensation. S’exhiber, jambes bien écartées pour se faire mater le sexe et la rondelle par une femelle intéressée. Faire deux pas de côté et s’offrir à une autre qui, la coquine, montre bien que sa main s’en va vers son sexe nu, car la transparence de l’eau nous livre tout.

Quatre femmes sont là, chacune accompagnée d’un chevalier-servant. Légitime, illégitime ? Peu importe, Jean-Louis descend les quatre marches du bassin. Je le suis, comme son ombre. L’eau est tiède, voire chaude. C’est très agréable. Jean-Louis s’assoit à côté d’une ravissante brunette de vingt-cinq, trente ans maximum. Moi, je n’ai pas le choix il ne reste qu’un seul endroit pour m’asseoir, entre une belle femme mûre et une jeunette d’une vingtaine d’années. Elles se ...

... sont écartées l’une de l’autre pour m’attirer dans leurs filets. Sous l’eau, les mains s’égarent. Jean-Louis pelote les seins de la brunette dont les cuisses sont caressées par son Pygmalion. Elle, un bras de chaque côté, s’est emparée des deux phallus qui l’encadrent. Elle les caresse tendrement, affectueusement. Je vois ma verge prise dans une main et mes bourses tenues par une autre. Ici, pas de conflit de générations. Je rends coup pour coup, caresse pour caresse. Les mains se baladent, les jambes se touchent, à droite, à gauche et pendant ce temps-là, les pieds, eux, se frictionnent avec les voisins d’en face… très, très agréable tout ça. Quelle mise en appétit ! Subitement, l’eau se met à tourbillonner doucement puis progressivement à bouillonner. Des jets doux caressent mon dos, j’en sens d’autres commencer à s’immiscer entre mes cuisses.

— Ah, enfin ! me susurre ma voisine de droite en me lâchant la bite. Je vous laisse profiter des plaisirs que l’eau peut apporter. Je vous reprendrai en mains après en avoir profité moi-même. Soyez gentil, regardez-moi m’abandonner à ces ablutions diaboliques, votre regard rajoutera à mon plaisir.

La plus jeune m’a lâché, elle aussi. Se dandinant sur les fesses, cuisses tout ouvertes, elle se retourne vers moi, s’approche de mon oreille et me dit :

— Le jet caresse mon bijou, passe sur mes lèvres, masse mon petit bouton et pénètre ma grotte secrète… que c’est bon !

Ses cheveux caressent mon épaule et, en me déposant un ...