La petite femelle (7)
Datte: 24/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: De Bréville, Source: Xstory
... retenir de gémir. Je le supplie d’arrêter. Tout en sachant très bien que, d’après nos conventions, cela veut dire :
— Allez-y ! Soyez encore plus dur avec moi !
Il ne s’y trompe pas et me réponds :
— Je vais vous donner une bonne raison de pleurer ! Vous seriez déçue si je ne le faisais pas. C’est une question de respect envers vous !
L’argument me scie ! Son respect prend tout de même une forme très particulière ! Mais il est vrai que je ne me contenterais pas d’un simulacre de fessée. Il est sûr que le changement de couleur de mon derrière et la douleur causée par sa main sont des aspects importants de mon initiation. Les claques continuent donc à tomber, fermes, sonores, claquantes et cuisantes, indifférentes à mes cris, mes insultes, mes ruades et mes battements de jambes... Je suis proprement rossée, rouée de coups, étrillée...
De temps en temps, la fessée est retenue quelques instants. Bienfaisantes secondes où le temps s’arrête, où règne un calme impressionnant, où mon arrière-train pique encore plus que sous les coups... Je reprends un peu mon souffle avant que la séance reprenne de plus belle. Plus la fessée se prolonge, et plus ces pauses me sont nécessaires. Mais pourquoi est-ce que je le laisse faire ? Je voudrais mettre mes fesses hors de portée, mais je suis solidement piégée entre ses jambes et ses bras. Impuissante, je renonce donc à me débattre, annihilée par la durée et la force de cette virile fessée. Je n’ai d’autre choix que de capituler, ...
... jusqu’à ce que ce soit terminé. Je ne cherche plus à prévenir les claques, et il me semble même que mon derrière, si ferme au début, devient plus conciliant et va à la rencontre de la main qui le corrige. Max le sent-il ? En tous cas, il constate que je ne résiste plus.
— Voilà un comportement plus raisonnable, me dit-il. Mademoiselle a enfin compris qu’il ne sert à rien de jouer à la méchante !
Il m’administre une magistrale raclée. Je décroche... Sa voix berce mes pensées. Il lâche mes poignets et, sans m’occuper de ma touchante indécence, j’en profite pour jeter ma main droite entre mes cuisses ouvertes. Mon désir y ruisselle. Mes doigts trouvent mon sexe trempé et gonflé. Leurs mouvements frénétiques me donnent rapidement une jouissance immense, tandis que la force des claques commence à décroitre et à se transformer en caresses. Combien de temps mon bonheur dure-t-il ? Je suis bien incapable de l’évaluer. Mais ce dont je suis sûre, c’est que pendant que j’explose sur mes doigts, mes fesses, incandescent témoignage de mon plaisir, doivent avoir un teint cramoisi qu’elles n’ont encore jamais connu.
Quelques instants plus tard, il me laisse glisser à genoux sur le sol. J’ai la tête inclinée sur le genou que je viens de quitter. Je suis encore étourdie, mon cœur bat la chamade et j’ai les fesses en feu. Après ce délicieux jeu d’adultes, j’ai encore besoin de lui. Je veux profiter de ces instants, de sa chaleur. Il m’aide à me relever. Mes émotions se bousculent. Mon ...