La petite femelle (7) - Histoires de Sexe

La petite femelle (7)

... petite culotte est enfin baissée et mes fesses se retrouvent dépouillées de leur dernière protection. Enfin troussée, je n’ai plus qu’à attendre la suite des évènements. J’ai beau savoir que Max connait déjà tous les détails de mon corps, j’éprouve cependant une intense émotion à savoir exposée à ses yeux la partie postérieure de mon anatomie. Une certaine ivresse s’empare de moi de savoir mon sillon offert à ses regards et à ses caresses. D’une certaine façon, je lui envie ces instants si particuliers que ma vue procure à ses sens. Pourtant, je ne voudrais pour rien au monde céder ma place.

Cette nouvelle attente, plus brève que la précédente, n’en est pas moins émoustillante ! J’espère le premier contact violent avec les mains de mon fesseur. Je suis totalement dépendante de son bon-vouloir. J’ai envie de lui dire :

— Allez-y ! J’ai attendu si longtemps déjà !

Mais rien ne vient tout de suite. Max sait jouer avec habileté de cet autre instant privilégié. Il prend son temps...

Enfin une première tape est appliquée sur ma fesse droite. Waouh, la valse a commencé ! Immédiatement, j’apprécie les sensations. J’ai à peine le temps d’être étonnée par sa résonance que, tout de suite, je suis emportée. Cette première claque est si agréable. Elle laisse une impression de chaleur. Puis une deuxième atteint l’autre partie de mon postérieur. D’autres viennent ensuite, sur le haut des cuisses et sur mes appétissantes rondeurs. Elles ne font pas vraiment mal et sont très ...

... plaisantes. Elles heurtent sans violence particulière chacune de mes rondeurs, tour à tour, sans susciter la moindre jalousie... Durant un bon quart d’heure, en prenant son temps et en entrecoupant les claques avec des massages à pleines mains, il m’administre une fessée plutôt légère qui a l’avantage de bien chauffer l’ensemble de mon fessier. Elle est appliquée sur une paire de fesses détendues, parfaitement rebondies et disposées comme il se doit. Les coups pleuvent, légers et souples comme une averse printanière.

Sa main dose à merveille les claques qu’elle adresse et en ressent les effets en direct. Max me caresse ensuite là où ses mains ont laissé quelques marques de couleur. Une ou plusieurs claques, puis une caresse circulaire pour à la fois éprouver la chaleur de ma peau rougie et apaiser celle-ci. Sa main chauffe autant que mes rondeurs.

Puis reprennent, toujours retenues, les courses aériennes aux chutes aléatoires. J’ai d’abord tendance à penser que ses claques ne sont pas assez fortes et que sa fessée ne fait pas assez mal. J’ai tort car je ne connais pas encore l’art consommé de mon amant. Je me tortille un peu pour réclamer plus de rudesse et lui se contente de sourire et de continuer à chauffer mon postérieur... Il distribue les claques partout, mais en se concentrant surtout sur la zone de rencontre entre mes cuisses et mon fessier. Ces claques tombent régulièrement et ses mains restent longtemps sur mes fesses qui chauffent. Ma peau, qui a déjà sans doute ...