La petite femelle (7)
Datte: 24/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: De Bréville, Source: Xstory
... pris une carnation bien rose, s’habitue à la chaleur...
Puis le mouvement de sa main prend de l’ampleur. Cela me convient tout à fait : mes préférences ne vont pas aux fessées les plus douces. Il a dû le sentir et augmente encore l’intensité. C’est un véritable plaisir. L’apéritif est terminé. Progressivement, les claques tombent de plus en plus rapidement. Faisant danser les fruits de nos désirs communs, elles deviennent de plus en plus fortes, lourdes et sèches. Elles cinglent un derrière que j’imagine de plus en plus rouge. La chambre souterraine crépite du bruit sec de la fessée que je reçois, allongée en travers de ses genoux, culotte baissée. Je ferme les yeux et me laisse bercer. Le rythme m’emporte vers des plages désertes et inconnues. Le chant des claques et le déroulement des ondes m’éclaboussent d’écume salée. Je découvre un nouveau monde.
Une avalanche de claques vigoureuses s’abat sur mes fesses nues. Je serre les dents et essaye de ne pas bouger. Je n’ai d’ailleurs aucune envie de changer de position. Elle me fournit un confort relatif qui me permet de me concentrer sur les sensations infligées à mon postérieur. Très vite, mes yeux sont embués. Max m’interdit de serrer les fesses pour atténuer mes sensations. Mais mes réflexes font que je rassemble un peu mes cuisses, que je me tords et que je me débats, que mes mains ont tendance à vouloir désespérément protéger la partie de mon anatomie qui est devenue la plus sensible. Alors il passe aux cuisses. Et ...
... là, je ne peux plus résister. Je ne peux plus m’empêcher de gigoter dans tous les sens, compulsivement, involontairement, inutilement. Mais mes gesticulations et protestations ne provoquent aucun changement de traitement, bien au contraire.
— La jeune fille n’est pas sage. Tant pis pour elle, me dit-il. J’ajouterai dix claques supplémentaires sur son cul nu !!!
Ces coups de pénalité n’ont pas un caractère très réel puisque nous n’avons pas fixé la fin théorique de ma fessée. Mais je n’en ai pas vraiment conscience et je les perçois comme une véritable punition. Je pense qu’ils seront certainement les meilleurs et les pires. Je les attends avec impatience et désire à la fois repousser le moment de les ressentir.
Max saisit mes poignets qu’il immobilise ensemble sur mes reins. Je n’en attendais pas moins. J’aime bien être ainsi entravée ! Il m’encourage à m’installer de nouveau pleinement dans la ligne de feu en reprenant de moi-même la bonne position. Et le déluge de feu reprend. Incapable de bouger, je ne peux désormais que me plaindre et sangloter.
L’esprit vide, toute entière disponible, je baisse les yeux vers le sol. J’ai peur de la prochaine brûlure, mais je suis heureuse de la sentir sur moi. Troublée, perturbée et légèrement choquée d’aimer ce mélange diffus d’émotions, je suis obligée d’identifier dans ce plaisir un parfum de soumission. La douleur adorée commence à vraiment devenir insupportable. Je veux que cela cesse. C’est humiliant de ne pouvoir se ...