La petite femelle (7) - Histoires de Sexe

La petite femelle (7)

... fini...

Le rythme de ma respiration s’accélère. Je sens son regard sur mon postérieur présenté dans une culotte tout à fait adaptée à la situation : un slip de coton blanc plutôt couvrant, comme celui de Lee Holloway...

Sans un mot, il tourne un peu autour de moi, soupèse un sein, remonte mon menton, me regarde droit dans les yeux et me demande :

— Savez-vous bien ce qui vous attend Mademoiselle ?

Je lui réponds sans hésiter :

— Une fessée...

Et lui continue :

— Pas n’importe quelle fessée. Une cuisante correction dont vous vous souviendrez et qui va vous chauffer les fesses pendant un bon moment ! Suis-je bien clair, Mademoiselle ?

Ces mots catalysent instantanément mes désirs... Je rêve déjà d’une correction administrée dans ma position d’attente, ou alors plus penchée en avant, ma poitrine posée sur la table et mes mains et mes bras placés au-dessus de ma tête, afin d’augmenter la cambrure de mon dos... Peut-être préférera-t-il que je sois langoureusement couchée à plat ventre sur le lit, la tête appuyée sur le matelas, les hanches et le postérieur relevés par un oreiller (ou deux ou trois). Une position confortable pour les séances qui se prolongent... Ou bien alors voudra-t-il que je sois debout, jambes légèrement écartées, le dos courbé, la tête vers le sol et je tienne mes chevilles. Je trouve cette position particulièrement impudique...

Mais Max s’assied au bord du lit et m’invite à me coucher sur ses cuisses légèrement ouvertes. Cette ...

... position a l’avantage de permettre un corps à corps plus important. Il me plaît donc de me pencher sur ses genoux accueillants, de me coucher en travers de ses cuisses solides. J’obéis cependant en me détestant. Je rage contre moi-même et, au même moment, je frémis d’impatience. Je n’ai pas l’intention de me dérober, mais de là à tendre les fesses vers la main qui veut les outrager.

Ma tête repose sur le lit, mes petits seins sont contre le côté extérieur de sa cuisse gauche, mes jambes s’ébattent librement, mes fesses sont tendues et bien exposées... Max est bien à sa main. Il peut facilement atteindre ses cibles sous le bon angle. Sa position permettra d’appliquer les claques avec vigueur.

Il me dit combien il trouve jolie et sage ma petite culotte de coton qu’il n’aura aucune difficulté à descendre. Ses mains caressent mon fessier et le haut de mes cuisses. Elles passent sous le tissu blanc. Le contact de nos deux peaux. La tiédeur de sa main qui entre en contact avec celle de mes fesses. Il masse délicatement mes rondeurs puis enfonce mon slip dans la fente qui les sépare. Elles lui apparaissent dans presque toute leur nudité. Blanches et rondes. L’intérieur de mes cuisses fait aussi l’objet de toutes ses attentions. J’apprécie qu’il prenne le temps qu’il faut pour me mettre en condition... Puis vient le moment tant attendu et désiré de mon déculottage. L’instant magique où mon fessier se voit dégagé de sa sage lingerie. Deux ou trois secondes de pur bonheur !

Ma ...