1. Anus horripilis


    Datte: 23/04/2020, Catégories: fh, ff, ffh, couplus, inconnu, fépilée, cinéma, boitenuit, avion, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio, champagne, confession, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... je l’embrassais et la caressais, faisant rouler ses tétons tout durs entre mes doigts.
    
    Mon Alexandra parvint à ses fins. Les yeux clos, un sourire aux lèvres, Marie poussait de jolis couinements et tortillait du croupion.
    
    De retour chez nous, nous refîmes encore une fois l’amour. Comme aux premiers jours de notre rencontre. Nous venions de retrouver nos jeunes années. Jérôme avait raison. Plus efficace qu’un conseiller conjugal. Nous étions guéris.
    
    Il fallait pimenter ? Nous allions pimenter ! J’ai refait une demande en mariage. En grande pompe, devant toutes nos connaissances. Une demande assortie d’un bouquet de fleurs et d’une bague.
    
    — Alexandra, veux-tu m’épouser une seconde fois ?
    
    À mon grand soulagement, elle m’a redit : OUI.
    
    Puis nous sommes allés à une petite cérémonie marrante à l’hôtel de ville. Tous nos amis et familles vinrent fêter l’événement au Marumba. La grand-mère d’Alexandra, quatre-vingt-douze printemps, n’arrêtait de répéter :
    
    — C’est plaisant comme endroit ; faudra revenir, René !
    
    René, son compagnon, me regardait avec un petit sourire en coin. Il devait connaître le lieu, au moins de réputation. Jérôme et moi imaginions mamie Joséphine dans une soirée du club. Et nous avons piqué un fou-rire communicatif.
    
    Nous sommes repartis en voyage de noce en Grèce. Alex débordait d’idées pour faire l’amour. « Pimentons ! » ne cessait-elle de répéter. Son obsession, le faire dans des endroits incongrus. Comme lors d’un concert d’Agnès ...
    ... Obel à l’Aréna. Nous étions au fond, dans un angle. La salle était plongée dans le noir ; seule la vedette au piano se tenait dans un cercle de lumière. Au bout de quelques minutes, je sentis les doigts agiles de ma chérie baisser la fermeture de mon pantalon et en extraire son « doudou », comme elle le nommait. Le « doudou » en question réagit très vite à ses caresses. Elle vint s’asseoir sur mes genoux. Elle avait mis une jupe ample pour l’occasion. Je me rendis compte qu’elle avait omis de mettre une culotte.
    
    Plantée sur moi, elle ne bougeait pas. Elle se contentait de contracter et décontracter les muscles de son ventre. Les vibrations de la sonorisation amplifiaient le phénomène. Je la retenais par la taille. Dans le noir, nous ne risquions pas trop d’être vus. Nous nous élevâmes vers les cieux tous deux bercés par « Dorian ». Aux quelques spectateurs outrés, il fut répondu que la musique adoucit les mœurs.
    
    Elle réserva aussi une loge à l’opéra, en cachette, pour me faire une surprise.
    
    La flûte enchantée y était donnée. Et là, dans cette loge, elle me fit la turlute du siècle. Se faire gober le pipeau alors que retentit l’air de la Reine de la Nuit est un grand moment ! Je ne suis plus sûr de rien, mais je crois qu’elle la faisait en rythme. Il ne fait aucun doute que Mozart eût apprécié l’hommage.
    
    Ou dans une montgolfière louée par mes soins. Devant nous s’élevait le pic Saint-Loup. J’avais la tête sous sa longue et ample jupe, tel un photographe du début du ...