La fille de Bonn
Datte: 22/04/2020,
Catégories:
fh,
hh,
hbi,
couple,
piscine,
sauna,
massage,
Auteur: Caval, Source: Revebebe
... les deux.
— Ça me va très bien.
— Et on refait l’amour… lorsque tu auras repris quelques forces.
C’est donc tous les deux nus que nous avons passé la journée. Nous sommes allés prendre une douche en commun en savonnant nos corps mutuellement. Puis, dans la cuisine, je regardai son admirable fessier alors qu’elle préparait le petit déjeuner. Elle joua à enduire ma verge de confiture avant de la lécher ; moi, la plaçant face à moi, assise sur la table, je fis couler sur son corps du lait que je lapai sur ses seins, sur ses cuisses, dans les poils de sa chatte, jusqu’à l’entrée de son vagin.
________________________
J’étais entré dans son appartement le samedi soir et ne regagnai le mien que le dimanche dans la nuit, totalement épuisé, la verge presque douloureuse, mais ô combien ravi par la fougue et la spontanéité de cette jeune femme.
Oui, épuisé mais rassasié de sexe et de plaisirs voluptueux.
Je ne saurais dire pourquoi, mais après avoir passé quelques heures avec elle, j’avais l’impression qu’Alexandra étaitla femme qu’il me fallait. Qu’elle soit une magnifique maîtresse était un élément important, certes. Cependant, il y avait autre chose que je ressentis rapidement. Avant même d’avoir partagé son lit, j’avais eu pour elle des sentiments qui dépassaient ceux de l’amitié. Il s’agissait d’une attirance émotionnelle plus que d’une attraction purement sexuelle. Pourtant, je m’en défendais :« Je ne peux pas aimer cette fille, je ne la connais même pas. J’ai ...
... pris un verre avec elle, nous avons échangé des propos intéressants mais badins, ne dévoilant pas le fond de nos esprits. Je l’ai vue nue : ce n’est pas un élément probant ; ce n’est pas parce qu’une jolie fille passe près de moi que j’ai envie de la sauter… encore moins d’éprouver des sentiments sincères et purs pour elle. J’ai fait l’amour divinement avec elle. Mais je ne peux pas dire pour autant que c’est la femme de ma vie. »
Néanmoins, je pensais continuellement à Alexandra. Mes rêves étaient emplis de son image ; il ne se passait pas une heure sans que sa voix ne revienne à mes oreilles, que le souvenir de son visage, de son corps, de la douceur de ses seins, l’odeur suave de sa chatte ne vienne troubler mon esprit.
________________________
Le week-end suivant, je revins voir mon amante et m’installai chez elle dès le vendredi soir. Nous nous étions revus dans la semaine, mais juste pour dîner, prendre un verre, sans faire l’amour. Nous voulions prendre notre temps pour savourer de douces étreintes. Ce week-end se promettait d’être particulièrement chaud.
Après une nouvelle nuit sublime à faire l’amour, le samedi au petit jour elle me demanda :
— Dis-moi, mon chéri : naturellement, tu as une femme qui t’attend en France ?
— Non, je n’ai aucune femme dans ma vie. Ni en France, ni ailleurs.
— Quoi ? Un beau mec comme toi, un excellent amant, c’est impossible que tu sois libre. Ou alors tu baises toutes les nanas qui passent, sans sentiment, en passant de ...