1. La fille de Bonn


    Datte: 22/04/2020, Catégories: fh, hh, hbi, couple, piscine, sauna, massage, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... l’une à l’autre. Je suis un peu conne de croire être tombée sur la perle rare, le mec parfait qui n’est ni don Juan, ni Casanova. Et moi, je suis l’une de tes nombreuses conquêtes ?
    — Je ne suis pas non plus ce genre de mec. Et toi, moins qu’une autre, ne fais partie de mes proies.
    — Tous les mecs que je rencontre sont des toquards ou sont maqués. D’un côté, tu as les beaux ; ils sont souvent extrêmement cons, tellement ils sont imbus de leur plastique, te regardant avec supériorité du genre « Remercie le ciel que moi, le prince, je regarde le vil crapaud que tu es ! » Ou alors ils jouent les playboys, ne travaillant ni avec leurs mains, ni avec leurs pieds, enchaînant les aventures sans lendemain pour augmenter leur tableau de chasse. D’un autre côté, tu as les perles rares : les mecs intelligents, sensibles, ceux qui ne cherchent pas à coucher dès le premier soir ; mais ceux-là, ils ont tous une fille qui leur a mis le grappin dessus. Et toi, tu es dans la première catégorie, sans en avoir les défauts : ni bellâtre inaccessible, ni playboy. Tu es également dans la seconde catégorie, mais tu n’as personne dans ta vie. Pas la moindre maîtresse ?
    — C’est à voir. J’ai peut-être une femme avec qui je pourrais partager quelque chose.
    — Ah, je me disais aussi… Dis-moi son prénom, seulement son prénom, et après je ne t’emmerde plus avec. On prendra du bon temps dans cette histoire sans lendemain.
    — Elle s’appelle Alexandra.
    — Comme moi ?
    — Naturellement, puisque c’est ...
    ... toi.
    — Arrête de déconner, Marc. On ne parle pas de moi, là, mais d’une fille qui t’attend en France, que tu vas retrouver dès que tu seras reparti d’ici. Une fille que tu es en train de faire cocue actuellement avec moi.
    — Mais moi je ne parle que de toi. Tu ne voudrais pas revenir avec moi en France ?
    
    Elle me regarda fixement. Je profitai de son absence de réaction pour la basculer dans le lit et la pénétrer rapidement, sans préliminaire, enfonçant mon sexe profondément dans le sien. Alors que j’entreprenais de ramoner son fourreau humide avec des va-et-vient rapides, elle me dit :
    
    — Je serais capable de te suivre jusqu’au bout du monde, mon amour !
    
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    Un mois après, Alexandra arriva en France pour expérimenter une nouvelle vie. Elle vint habiter chez une copine en région parisienne, ne voulant pas brusquer les choses. Elle préférait garder son indépendance avant de venir habiter tout de suite chez nous ; car je lui avais dit que je partageais une maison avec un copain, sans pour autant lui avouer que j’étais bisexuel et que je comptais bien le rester. L’amour réel, sincère et profond que j’éprouvais pour elle ne me faisait pas perdre de vue que mon équilibre psychique était en grande partie basé sur le mode de sexualité que je pratiquais.
    
    Elle se rendit chez nous un vendredi soir. Comme nous le faisions habituellement avec nos autres conquêtes, nous organisâmes un repas tous les trois pour faire connaissance.
    
    — Quand comptes-tu lui ...
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