La fille de Bonn - Histoires de Sexe

La fille de Bonn

... fougue et passion. D’autant que ma partenaire ne semblait pas demander grâce, ne détestant pas quelques foucades dans les jeux de l’amour et du sexe.

Lorsque je m’enfonçais dans son vagin dans telle ou telle autre position, je m’efforçais que ma hampe aille au plus loin dans ses chairs ouvertes et offertes…

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Le dimanche matin, lorsqu’elle se leva, elle prit une chemise de nuit ; et avant qu’elle n’ait le temps de la passer je lui dis :

— S’il te plaît, reste nue : tu es si belle ainsi.
— Tu veux pouvoir admirer mon corps en toute liberté et en toute impudeur ?
— Je désire te voir belle et nue, car lorsque tu offres ton corps à la lumière, c’est toi qui as la liberté.
— J’aime bien ce que tu dis, ce qui est très loin de ce que j’ai longtemps ressenti. Maintenant je fais du naturisme ; je vais dans des bains publics où je suis nue avec les autres, mais ça n’a pas été toujours le cas. À l’origine, j’étais extrêmement pudique. C’était même maladif. Même dans le cadre du privé.
— Vraiment ? J’ai du mal à le croire. Pour ton amant, as-tu vraiment quelque chose à cacher ?
— Non, je n’ai rien à cacher à mon amant, mais pour moi le corps a longtemps été quelque chose de tabou. Être nue, c’était une humiliation. C’est justement mon amant allemand, celui avec qui je suis venue dans ce pays, qui m’a initiée au plaisir d’être nue. Déjà, il m’a persuadée de faire l’amour en pleine lumière, lui permettant de découvrir toutes les parties de ma chair ...

... clairement, même les plus intimes. Puis dans la salle de bain, j’ai accepté que nous prenions nos douches en commun grâce à une spacieuse douche à l’italienne. Enfin, nous sommes allés nus dans toutes les pièces de la maison, simplement pour le plaisir de déambuler à poil et parfois pour faire l’amour un peu partout : le divan naturellement, mais aussi le tapis du salon (qu’il a fallu faire nettoyer après), la table de la cuisine, le plan de travail… même dans l’escalier qui monte dans la mezzanine (pas très confortable).

Alexandra racontait tout cela avec beaucoup de joie, riant de ces souvenirs de libération sexuelle.

— Eh bien, je ne t’en demande pas plus : flâner dans ton appartement sans aucun vêtement.
— Pour moi, c’est encore un vieux réflexe de me couvrir au sortir de la chambre.
— Je me demande si tu accepterais d’aller avec moi sur des plages naturiste en France. Ainsi tu pourrais vivre cette liberté d’être nue en extérieur, en pleine nature.
— Pourquoi pas ? Pour te dire la vérité, c’est une idée qui germait depuis un petit bout de temps dans mon esprit. J’en avais envie sans pour autant faire quoi que ce soit pour que cela se réalise.
— Je serais heureux de pouvoir te permettre de découvrir le naturisme, tel qu’il doit se pratiquer selon moi : dans la nature. Pour l’instant, ma chérie, voudrais-tu bien m’accorder ce que je t’ai demandé ?
— De me balader à poil ? D’accord, mais à une condition.
— Tout ce que tu voudras, mon amour.
— On reste nus tous ...