Moment d'égarement
Datte: 21/04/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Marius33, Source: Revebebe
... allongé le bras sur le plan de travail et s’est saisie d’une bouteille d’huile qu’elle a pris soin de déboucher avant de me la tendre sans m’adresser un regard. Le message était clair. Nous n’étions pas à Paris, mais nous allions danser le tango.
Surpris mais ravi, j’ai versé une bonne dose de ce gras liquide dans ma main pour m’en badigeonner le dard. Élodie avait repris jupe et culotte en main, dégageant son fessier, et attendait la suite. Les doigts bien lubrifiés, j’ai commencé à frotter son anus avec délicatesse en y faisant entrer une, puis deux phalanges. Le terrain m’a semblé prêt très rapidement.
J’ai approché mon sexe pour lui frotter l’anus avec le gland, mais c’est elle qui, écartant ses fesses des deux mains, a reculé doucement pour s’empaler dessus. Elle contrôlait la situation beaucoup plus qu’elle ne le laissait paraître. Je me suis fait gober la bite progressivement et me suis retrouvé enfoncé jusqu’à la garde dans le cul d’Élodie. Incroyable sensation. Là, nous nous sommes arrêtés un instant. On se demandait peut-être s’il fallait poursuivre, mais au vu de la situation il semblait évident que nous allions terminer le travail. Et rapidement encore. J’étais raide comme rarement et, sans bouger, j’actionnai mon membre pour lui faire sentir que j’étais bien là où elle m’avait demandé de me mettre. Elle, de son côté, comprimait ses sphincters pour me serrer et mieux me sentir. Elle a commencé à vaillamment remuer du croupion. Nos corps ont commencé à ...
... trouver le bon tempo et j’ai passé mes mains sous ses aisselles pour m’accrocher à ses épaules. Je la tenais fermement. Si elle avait voulu échapper à pareille prise, il était trop tard. Mais elle ne le souhaitait pas. L’étreinte était si intime et puissante à la fois que nos corps n’en formaient plus qu’un.
L’excitation devenant insoutenable, le grand limage a commencé. Lentement, mais avec des coups de reins réguliers et vigoureux, je me suis mis à lui pistonner le cul beaucoup moins délicatement, en lui rentrant l’intégralité de ma bite bien au fond à chaque fois. Ça rentrait comme dans du beurre.
Élodie grognait sourdement. La culotte toujours bien écartée, j’ai senti qu’elle avait passé une main sur son sexe et qu’elle se masturbait frénétiquement. Je limais comme un soudard, en m’agrippant toujours à ses épaules. Il ne lui restait sans doute que quelques secondes avant d’exploser. Peu m’importait. C’était pareil pour moi.
À l’instant même où Élodie partait dans un orgasme très violent, j’ai en quelques secousses telluriques tout lâché dans son fondement. La grosse libération.
Nous sommes longuement restés hébétés comme deux couillons au bord de l’évier. Nos esprits recouvrés, je me suis dégagé, rajusté et, sans mot dire ni même m’adresser un regard, Élodie a filé directement aux toilettes. Pendant que je me lavais les mains dans la cuisine, je l’ai entendue passer à la salle de bain. J’attendais son retour avec appréhension.
Elle était très gênée. On s’est ...