1. Moment d'égarement


    Datte: 21/04/2020, Catégories: fh, extracon, fdanus, fsodo, Auteur: Marius33, Source: Revebebe

    ... caresse s’est vite transformée en palpation. Je faisais remonter sa grosse fesse en la comprimant pour qu’elle aille frotter l’autre globe. À travers le tissu de la jupe, je sentais la culotte et, du pouce, j’ai commencé à jouer avec son petit élastique.
    
    C’est Élodie qui a parlé la première.
    
    — Qu’est-ce qu’on fait, là ?
    
    D’une voix grave, elle venait de poser une question tout à fait pertinente.
    
    — Je crois que j’ai très envie de te caresser les fesses…
    
    C’est tout ce que j’avais trouvé à dire. D’un autre côté, difficile d’être plus honnête.
    
    Elle a saisi l’ourlet de sa jupe et, d’un geste lent et contrôlé, l’a fait remonter jusque sur ses hanches pour faire apparaître une charmante petite culotte en coton bleu qui contenait mal ses formes généreuses. Spectacle chavirant. L’invitation était évidente, mais par où commencer ?
    
    Je me suis placé derrière elle et j’ai posé mes deux mains sur ses fesses, les pétrissant doucement mais fermement. Il y avait du matos… À aucun moment il n’a été question que l’on s’embrasse et un fort sentiment de culpabilité nous poussait à tout faire pour éviter que nos regards se croisent. N’existait pour nous qu’une énorme envie de sexe à satisfaire le plus rapidement possible. Peut-être vivait-elle alors une phase délicate dans son couple, nous n’avions jamais abordé le sujet. Sur le moment, je ne me suis pas posé la question.
    
    Je me suis accroupi devant son noble postérieur pour approcher mon visage, sans cesser de malaxer ses ...
    ... lourdes fesses. Dans le mouvement, je commençais à insérer mes pouces plus avant, en direction de son sexe gonflé à travers la culotte. De cet entrecuisse n’ont pas tardé à émaner d’excitants clapotis et une odeur subtile. Élodie mouillait copieusement sa culotte et j’insistai en pressant toujours plus le tissu contre sa motte pour l’imbiber d’une liqueur que j’avais très envie de goûter.
    
    C’est elle qui a écarté le fin tissu pour libérer l’accès. J’ai doucement commencé à jouer avec ses grosses lèvres humides en les pressant entre deux doigts pour l’exciter encore plus (était-ce bien nécessaire ?). Les comprimant de la sorte je pouvais voir son sexe se tremper davantage et j’entendais Élodie respirer plus fort. Elle a gémi quand j’ai lentement inséré deux doigts à l’intérieur de sa vulve. Le passage était large et elle ruisselait tant que lorsqu’elle s’est cambrée un peu plus, j’ai pu entamer une caresse plus intime et plus profonde à laquelle son corps acquiesça. Elle me semblait prête et plutôt bien disposée, et ma position inconfortable rendait mon érection de plus en plus pénible : le moment était venu de lui offrir ce qu’elle semblait réclamer sans le dire.
    
    Je me suis redressé, j’ai déboutonné ma braguette et j’ai enfin libéré mon sexe de son étreinte. Alors que je m’apprêtais à la pénétrer, elle m’a arrêté de la main :
    
    — Non, pas par là.
    
    La surprise fut de taille. Que voulait-elle dire exactement ? Je n’ai pas eu besoin d’y réfléchir trop longtemps. Elle a ...