1. Moment d'égarement


    Datte: 21/04/2020, Catégories: fh, extracon, fdanus, fsodo, Auteur: Marius33, Source: Revebebe

    Je suis passé voir ma copine Élodie l’autre jour. Belle brune, joli minois avec son petit nez en trompette, je lui ai toujours trouvé une légère ressemblance avec Sandra Bullock, pour la décrire sommairement. La dernière fois que je l’avais vue, environ six mois plus tôt, elle sortait d’une troisième grossesse qu’on peut qualifier de tardive puisqu’elle a dépassé les quarante ans. J’avais trouvé qu’elle avait quand même pas mal pris, comme on dit vulgairement. Toujours jolie, mais un peu trop grosse.
    
    L’autre jour j’ai été surpris de la transformation. Elle avait perdu pas mal de poids et quand elle m’a accueilli dans sa jolie et courte jupette bleue à fleurs, j’ai ressenti un petit choc érotique immédiat. Les cheveux bien tirés en arrière, son visage aussi avait minci, et elle se déplaçait avec naturel dans l’espace cuisine alors que nous discutions de choses et d’autres en préparant le repas. Ses deux filles en vacances, le petit dernier dormait déjà dans la chambre du rez-de-chaussée. On n’attendait plus que son mari pour passer à table.
    
    On a mangé dehors, sur la terrasse et, comme toujours, on a passé un de ces bons moments simples et drôles qui caractérisent notre relation depuis le début.
    
    Son mari est reparti au boulot et nous avons commencé à débarrasser la table. Élodie était devant l’évier et moi, juste à côté, torchon en mains, je l’aidais à finir de nettoyer.
    
    Nous discutions toujours, mais j’avais bien autre chose en tête. Je ne pouvais m’empêcher de ...
    ... lorgner le plus discrètement possible le mouvement de ses fesses qui faisaient doucement onduler sa jupe courte. Quand elle se retournait vers la poubelle et s’y penchait pour y jeter quelque chose, ce mouvement dévoilait ses cuisses et j’ai même une fois espéré pouvoir distinguer sa petite culotte. Ce n’est pas passé loin.
    
    Je m’étais mis à bander sérieusement. J’essayais de contenir mes pensées salaces en me disant que, tout de même, pendant de longues années, il n’avait jamais été question d’autre chose que d’amitié avec Élodie, mais j’éprouvais les plus grandes difficultés à résister aux idées cochonnes qui effleuraient mon esprit.
    
    La discussion s’amenuisait et, après que nos bras se soient frôlés à plusieurs reprises, j’ai bien senti qu’Élodie elle aussi éprouvait une sorte de gêne. Ses gestes devenaient plus lents. Quand nos regards se croisaient, ses yeux plus sombres qu’à la normale trahissaient la naissance d’une ambiguïté. J’ai senti qu’elle était sur le point d’en parler quand elle s’est arrêtée et s’est appuyée des deux mains sur le rebord de l’évier. Elle réfléchissait.
    
    Incapable de réprimer mon geste, j’ai placé doucement ma main gauche sur sa jupe, à l’endroit où sa fesse droite bombait le tissu. Je suis resté un instant en attendant sa réaction. Pas de réaction. Elle réfléchissait toujours en évitant de me regarder. J’ai vu sa bouche s’entrouvrir et son regard se durcir un peu plus. J’ai commencé à la caresser de façon plus appuyée à travers le tissu. La ...
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