Intense pénétration
Datte: 19/04/2020,
Catégories:
fh,
fagée,
Humour
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... profondément entre mes fesses, me chatouillait l’anus. J’sais pas trop ce que c’était que c’tte histoire. J’étais pas P.D…Une autre m’aurait fait ça, je ne l’aurais pas laissée faire.
Mais ces subtiles pressions circulaires contre ma rondelle, entraînant un étirement de mes boules, étaient prodiguées de si divine manière qu’elles généraient des frissons de plaisir tout au long de ma mœlle épinière. J’allais pas protester.
— … appréciez … ce gland si harmonieux … ces perles qui en sourdent … j’en ai très envie… trop envie …
Baissant sa tête vers ma bite, elle lécha, dans un geste plein d’élégance, les premières manifestations de mon plaisir. Si elle garda la bouche ouverte, l’occupation à laquelle elle se livrait ne lui permettait plus de parler.
Pendant un court instant, ses mains lâchèrent mes parties génitales. Dans un geste inattendu, elle les passa derrière mes genoux et m’attira fougueusement à elle. Ma bite s’enfonça entièrement dans sa bouche obligeante, comme dans un vagin bien huilé. Mon gland frappa sa luette avec violence.
Ma première pipe ! C’était la première fois qu’on me pompait le dard ! Au B.M.C., loin de tout raffinement, on avait tout juste dix minutes pour se satisfaire entre les cuisses passives de la pute de service. Au village, à part quelques coups rapides dans un grangeon (patois bugiste, petit cabanon dans un jardin ou dans une vigne) avec Claudette, normalienne en goguette. Les jeunes filles des années 60 n’étaient pas si faciles ...
... qu’on le prétendait. Ou alors, j’étais pas doué ! La fellation, si elle faisait partie de mes lectures, n’appartenait pas à mes pratiques.
Alors la bouche, en plus celle d’une Comtesse, absorbant ma bite, je crus que mon heure était venue. Mais Marie-Angélique, soucieuse de son plaisir, avait déjà retrouvé mes couilles qu’elle serra fortement. La douleur fit refluer mes spermatozoïdes froussards.
En véritable experte de l’amour, elle avait remonté mes boules sur ma hampe et me comprimait la base de la queue. Ainsi entama-t-elle une lente fellation, tout en contrôlant mes réactions. Quand quelque chose de dur appuya énergiquement contre ma rondelle, je compris pourquoi la gueuse m’avait attiré à elle : mon cul lui était beaucoup plus accessible. Cette fois, son doigt ne se contenta pas de tourner autour du pot, il en força l’entrée. Sans trop de peine, il faut dire. Madame la Comtesse avait le doigt fin. La sensation d’humidité que je ressentis lors de la pénétration me fit penser qu’en plus, elle l’avait lubrifié auparavant.
La bouche de la Comtesse allait et venait sur ma queue raide tandis que son index, dans le même tempo, allait et venait dans mon cul. Je n’étais pas chaud pour ce genre de truc, mais au bout de quelques secondes de cette pratique, je jetai aux orties tous mes préjugés. C’était trop bon. Ce jour, j’ai appris que la prostate ne servait pas seulement à avoir des cancers. Ce bout d’index qui me la massait pendant que sa bouche me pompait. Indicible ! ...