1. 12 - Collision


    Datte: 18/04/2020, Catégories: fh, hh, grossexe, Oral hsodo, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    ... d’intenses efforts pour repousser cette idée, je ne peux que comparer mon ressenti avec Patrick. Pourtant sensible, prévenant et attentionné, Pat se repose beaucoup sur mes capacités d’absorption, autant que sur l’indéniable grosseur de sa verge pour rendre nos rapports explosifs. Avec Franck, même si son sexe est déjà une bête de concours, tout semble se jouer sur le cérébral.
    
    — Je voudrais pouvoir arrêter le temps, tellement c’est bon de t’avoir en moi, ânonnais-je.
    — On est si bien. J’aime faire l’amour avec toi. J’aime comme tu te contractes quand je touche le fond de ton ventre. Viens avec moi.
    
    Sa phrase terminée, il me recouvre de son corps. Je suis à peine à plat ventre qu’il saisit mes poignets pour écarter largement mes bras. À l’aide de ses pieds, il en fait de même avec mes jambes. Sa queue va-et-vient sans que son ventre ne se décolle du bas de mon dos. Son gland pousse en moi comme s’il allait sortir par mon nombril, transformant le grain de ma peau en me faisant continuellement frissonner. Sa joue contre la mienne, je lui dis qu’il me rend dingue, que je lui appartiens.
    
    Il me possède ainsi un temps infini, ressortant presque de moi pour m’entendre lui demander de revenir. Plus il me prend, plus il fait partie de moi ; nous sommes rivés, soudés l’un à l’autre. Un court instant, je pense à Danièle. Ou plutôt, je me sens Danièle, ressentant exactement ce qu’elle ressentait. Je ne suis plus ni homme, ni femme. Franck n’est pas plus dans mes reins que ...
    ... dans mon vagin, il fait corps avec moi, en moi, je suis parti.
    
    La tête en ébullition, les reins en feu, son sexe vibre dans tout mon ventre en m’offrant sa chaude semence. Sa jouissance se cumule à la mienne. Accroché à lui, mes ongles se plantent dans sa chair, comme si c’était ma façon de lui rendre ce qu’il me donne, de le pénétrer.
    
    Pendant peut-être dix minutes, aucun mot ne vient rompre le charme. Comme notre orgasme est arrivé de façon exponentielle, il en est de même pour que les dernières ondes de plaisir s’estompent.
    
    Nous sortons boire un verre sur la terrasse, parlant à voix basse, accoudés à la rambarde. J’allume une cigarette, buvant ses paroles autant que mes yeux le dévorent. Le courant d’air frais glace le sperme qui s’écoule sur mes cuisses. Serrer les fesses me donne l’impression de le sentir encore en moi alors qu’il est juste à mes côtés. J’ai besoin de son contact, de le toucher ou bien qu’il me touche, peu m’importe. Je le sens si parfait que je pourrais aisément jouer les Hannibal Lecter. Le dévorer, le déguster. C’est exactement ça.
    
    L’heure qu’il peut être ne me préoccupe absolument pas. En toute quiétude, j’aimerais pouvoir rester là, avec lui à mes côtés. Je n’ai plus l’esprit torturé, comme si en me remplissant de lui, il me vidait de mes angoisses, de mon malaise. Je ne ressens que des choses positives à son contact.
    
    Ma clope terminée, je prends une douche, me brosse les dents et reviens dehors avec la bouteille. Il est assis et regarde ...
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