12 - Collision
Datte: 18/04/2020,
Catégories:
fh,
hh,
grossexe,
Oral
hsodo,
Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe
... naturels, et en profite pour retirer la vaseline excédentaire. Mon sphincter est souple, la peau s’est bien reposée…
— Bon, je ne vais pas tarder à reprendre la route, dit-il en lâchant un long soupir lorsque je reviens sur la terrasse.
— Je ne crois pas que ce soit possible, Franck, répondis-je d’un air grave.
— Ah bon. Et… pour quelle raison ? demande-t-il, l’air surpris.
— Parce que depuis que tu es arrivé, je n’ai plus cette sensation d’oppression qui m’asphyxie en permanence, cette chape de plomb qui m’écrase. Je suis bien, je te sens à l’aise, c’est pourquoi j’aimerais que tu restes avec moi pour la nuit, s’il te plaît.
— Tu te doutes que nous allons déraper ? argumente-t-il. Tu es sûr de toi ?
— Je l’espère bien, que ça va déraper. Ça fait partie de la magie de l’instant, c’est pour moi une suite aussi logique qu’attendue.
— Et Patrick ? réagit-il encore.
— Je n’ai aucun contrat d’exclusivité avec Patrick, ni légal, ni même moral. Nous ne sommes pas en couple, et je ne lui appartiens pas. Je ne lui cacherai pas non plus.
Il ne nous faut pas beaucoup de temps pour que nous nous dirigions vers la chambre. Sans un mot, sans aucune ambiguïté, nos deux corps déjà nus, pressés l’un contre l’autre, semblent se redécouvrir. Pas de précipitation, pas de challenge, aucune performance n’est exigée. Juste se sentir bien.
Il me décolle soudain du sol, ses mains sous mes fesses. Je m’accroche à lui comme un petit singe en serrant mes jambes dans son dos, mais déjà il ...
... me dépose sur le lit. En un rien de temps, nous nous retrouvons tête-bêche. J’enfonce mon nez et ma bouche dans ses parties, humant son odeur terriblement enivrante, aspirant la peau à la fois douce et fripée ; sa verge chauffe ma joue, je résiste encore quelques secondes, puis l’avale entre mes lèvres pour joindre le goût à ses effluves déjà très présents.
Je n’ai pas l’impression de déjà le connaître, mais bel est bien de le découvrir, comme si nous venions de nous rencontrer. En tout cas, c’est ainsi qu’il me plaît de le concevoir. Mon désir, ma soif et ma faim de lui grandissent de seconde en seconde, à chaque bouchée.
En quelques minutes, je ne peux plus attendre et viens me lover contre lui, blotti dans ses bras, le guidant vers mon ventre en l’implorant de me prendre. Les mots qu’il susurre à mon oreille dilatent autant mon cerveau que mon sphincter. Sans peine, le gros nœud s’enfonce en moi dans une douce caresse. Il semble vouloir me traiter avec délicatesse, mais je l’invite à venir plus profond en lui disant des choses que je n’aurais jamais pensé dire à un amant, aussi doué soit-il. Sa queue est une seconde colonne vertébrale. J’ai le sentiment d’être fragile, qu’il suffirait qu’il sorte de moi pour que je m’effondre, à l’image d’un château de carte.
Le plaisir ne monte pas en moi, il est de partout, se saisissant autant de mon esprit que de mes sens. Je ressens son nœud se dilater en moi à l’instant où mon doigt le pénètre. Il est immense en moi. Malgré ...