1. Aurélie 11


    Datte: 03/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... plaçant sur le côté, afin de tout voir. Véronique ne me chassa pas, mais me jeta un regard carnassier. Je sus qu’elle savait ce que je voulais.
    
    Elle s’approcha du fessier de la femme entravée, flatta les globes fessiers de sa cravache, et soudain, alors que Solène, un instant crispée, se détendait, elle frappa la chair tendre.
    
     Aaaaah ! Cria la soumise.
    
     Tais-toi ! siffla Véronique, je ne veux pas t’entendre !
    
    Et elle frappa une nouvelle fois, sur l’autre fesse. Une fois de plus, Solène cria, ce qui eut le don d’agacer notre maîtresse.
    
     Cybèle, ordonna-t-elle, fais-la taire. Je ne veux plus l’entendre, débrouille-toi !
    
    J’adoptai la seule idée qui me vint à l’esprit, espérant ne pas me faire rabrouer par Véronique. Je me plaçai devant Solène, me penchai vers elle et m’emparai de sa bouche, dans un baiser torride. Ce qui ne l’empêcha pas de me mordre la langue, lorsque Véronique asséna le coup suivant. Le cri de Solène fut absorbé par ma bouche, ainsi que les cris suivants, consécutifs aux coups de cravache. C’est ainsi que je pus comptabiliser un total de dix coups, les deux premiers, n’ayant pas été comptabilisés, à cause des cris.
    
    Lorsque j’entendis Véronique poser la cravache sur la table, je cessai d’embrasser Solène et me redressai. Ma langue me faisait mal, à l’endroit de la morsure et je sentais un goût de sang dans ma boche. En me mordant, elle n’avait pas fait semblant.
    
    Sur la table, toujours immobilisée, Solène avait les yeux pleins de ...
    ... larmes, mais elle put tout de même articuler, sans qu’on le lui demande :
    
     Merci, maîtresse, d’avoir puni votre salope comme elle le mérite !
    
    Je vis Véronique sourire, flatter les fesses rougies et l’entendis dire :
    
     C’est bien Iluni ! Maintenant, je vais te baiser !
    
     Merci maîtresse !
    
    Je la vis saisir le membre, contourner la table et présenter le gode à ma bouche. Je dus sucer quelques instants, afin de le lubrifier. Ensuite, jugeant la bite prête, elle se plaça entre les cuisses de Solène et la pénétra d’un seul coup. Solène feula, se mordit les lèvres et se laissa aller à la possession.
    
    La saillie dura un quart d’heure, pendant lequel la maîtresse et la soumise jouirent au moins deux fois chacune. Lorsque Véronique se retira, elle m’apostropha :
    
     Allez, Cybèle, viens nettoyer !
    
    Je ne me fis pas prier. Je me jetai sur le gode et j’eus la saveur poivrée, forte, entêtante de la cyprine de Solène. Lorsque ma maîtresse jugea le nettoyage suffisant, elle retira la ceinture, le gode qui la pénétrait elle aussi et me le donna à nettoyer. Sa saveur, à elle, était plus douce, moins épicée. J’eus une nouvelle possibilité de comparaison, lorsque Véronique m’ordonna de nettoyer la chatte de Solène, tâche à laquelle je m’attaquait avec ardeur. Lorsque ma maîtresse m’ordonna de cesser, Solène était au bord de la jouissance, et j’abandonnai mon ouvrage à regret. Je gardai toutefois l’odeur de la chatte de Solène dans mes narines, et le goût de sa mouille, sur ma ...
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