1. Aurélie 11


    Datte: 03/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    Le lendemain, avant de partir, elle vint me libérer, afin que je lui prépare son petit déjeuner. J’avais peu dormi, la position étant particulièrement inconfortable. Dès que je me levai, la tension des énormes anneaux à mes tétons se fit sentir. Je les voyais, distendus, entraînant toute la masse du sein vers le bas. Mes seins ressemblaient déjà à des gants de toilette. Qu’allait-il en être lorsque le temps aurait passé. Entre mes jambes, le ressort, comme je l’appelais, me gênait quelque peu pour marcher. Je dus écarter légèrement les cuisses pour pouvoir me rendre à la cuisine, préparer le petit déjeuner de ma maîtresse.
    
    Lorsqu’elle eut déjeuné, je débarrassai la table et attendit son bon vouloir. Je pensais qu’elle allait me rattacher sur ma paillasse, avant de partir au travail. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle me déclara :
    
     Aujourd’hui, je ne vais pas t’attacher sur ta paillasse. Tu seras libre dans l’appartement. Il y a du ménage, du repassage et du lavage. De quoi t’amuser. Pour que ce ne soit pas trop facile pour toi, je vais quand même te passer ça !
    
    Elle sortit, de derrière son dos, des bracelets, reliés par une chaîne de vingt à vingt-cinq centimètres. Elle s’agenouilla auprès de moi et plaça le premier bracelet sur une cheville, le fermant avec une clé. Elle répéta la même opération sur l’autre cheville. Ainsi, l’amplitude de mes pas s’en trouvait fortement réduite.
    
    Elle se releva et retourna dans la chambre. Je savais qu’elle allait ...
    ... ranger la clé dans le coffre, coffre dont je ne connaissais pas la combinaison, bien sûr. Elle revint peu après, et m’intima l’ordre de l’aider à passer sa veste. Tant bien que mal, je me dirigeai vers le couloir, tentant de trouver une marche qui ne sollicite pas trop la chaîne de mes chevilles. A plusieurs reprises, toutefois, je faillis chuter en avant, et les anneaux de mes seins se rappelèrent douloureusement à mon souvenir, à chaque fois.
    
    Je parvins enfin au placard du couloir et aidai ma maîtresse à passer sa veste. Avant de me quitter, pour la première fois depuis longtemps, elle déposa un baiser sur mes lèvres et murmura :
    
     A ce soir, salope ! Travaille bien !
    
     Merci, maîtresse ! A ce soir, maîtresse !
    
    Et elle s’en alla. L’oreille collée à la porte, j’entendis son pas décroitre puis cesser, l’ascenseur s’ouvrir, se fermer et le silence se fit.
    
    Je passai la matinée à faire du ménage. Je changeai et lavai les draps de ma maîtresse, passai l’aspirateur et le chiffon à poussière dans tout l’appartement. Et tout cela, avec une mobilité réduite, due à mes chevilles entravées.
    
    Pendant tout ce temps, je ne cessai d’être excitée. Je n’étais plus qu’une salope dépravée, une esclave, totalement soumise à sa maîtresse. Elle était en train de faire de moi une moins que rien. Elle déformait mon corps, témoins, mes seins pendants, mes tétons déformés par la grosseur de l’anneau qui les perforait. Ma chatte était désormais inaccessible à quiconque, de même que mon ...
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