1. Aurélie 11


    Datte: 03/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... maîtresse. Solène gémit dans ma bouche, signe qu’elle appréciait, elle aussi, notre baiser.
    
     Ça suffit, lança Véronique, dans mon dos.
    
    Aussitôt, je libérai Solène et me reculai. Je savais combien pouvait être cruelle, Véronique, si elle jugeait que l’on n’obéissait pas assez vite. Je me glissai à côté de la jeune rousse, tout contre son bras retenu dans le dos. Nous devions former un drôle de tableau. Elle, belle rousse, ronde, habillée, et moi, totalement nue, harnachée, mince comme un fil, nichons distendus, chatte fermée.
    
     Bien, fit Véronique, je me retrouve avec deux soumises. Donc, avec deux fois plus de problèmes. Sachez, mes salopes, que je n’hésiterai pas à sévir, si vous désobéissez ! Est-ce clair ?
    
     Oui maîtresse ! répondis-je aussitôt.
    
     Est-ce clair ? fit-elle, s’approchant de Solène et la giflant.
    
     Oui maîtresse, répondit Solène, mortifiée par la gifle.
    
     Maintenant, reprit-elle, passant derrière la rousse et lui retirant ses menottes, à poil, salope !
    
    La jeune femme sursauta et jeta un regard vers moi. Je l’encourageai d’un sourire. Alors, elle porta ses mains à son corsage, défaisant les boutons, un à un. Elle retira les pans du vêtement hors de sa jupe et écarta le chemisier, offrant la vision de deux magnifiques globes pâles, constellés de taches de rousseur, enserrés dans un soutien-gorge balconnet vert. Elle retira les boutons de ses manches et laissa tomber le chemisier au sol. Elle s’attaqua ensuite à la jupe, qui coulissa ...
    ... bientôt sur ses cuisses, jusqu’aux chevilles. Elle s’en débarrassa en l’enjambant. Elle n’était plus vêtue que d’un collant et d’une culotte, assortie au soutien-gorge cachant encore ses seins lourds. Elle hésita un moment, puis passa ses mains dans le dos, retirant les agrafes du soutien-gorge, qu’elle laissa également tomber au sol.
    
    Fascinée, je regardai ces magnifiques globes, légèrement tombant, surmontés dune aréole rose tendre, avec, au centre, un téton, d’un rose à peine plus marqué, déjà turgescent, signe que se déshabiller, ne lui déplaisait pas tant que cela.
    
    Elle continua son effeuillage par le collant, qui rejoignit bientôt la jupe. Elle n’était plus vêtue que de sa culotte, culotte qu’elle semblait hésiter à retirer. Un claquement de langue excédé de Véronique la décida. Je compris la raison de son hésitation lorsqu’elle baissa son dernier rempart. Comme elle restait quelque peu coincée entre ses cuisses dodues, la culotte se retourna, dévoilant son gousset. Celui-ci avait pris une teinte plus foncée, démontrant, s’il en était besoin, l’état d’excitation de la soumise. Elle fit coulisser le slip, le retira et se redressa. Par un dernier réflexe de pudeur, elle plaça un de ses bras devant son pubis, couvert d’une fourrure abondante.
    
     Mains derrière le dos, salope ! Lui intima Véronique.
    
    Comme elle n’obéissait pas assez vite, notre maîtresse lui claqua le sein droit, sur lequel s’imprima immédiatement la marque de doigts. Solène, écarlate, mit ses mais ...
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