Aurélie 11
Datte: 03/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Grandpervers, Source: xHamster
... clitoris, que je sentais pourtant darder au sommet de mes lèvres. Seul, mon trou du cul était encore disponible. Pour combien de temps ?
Ce soir, lorsque ma maîtresse allait rentrer, elle allait faire des photos de moi, les envoyer sur le net, et me prostituer, me louer à des hommes, des femmes, des couples pervers. Et cela m’excitait. Je n’arrivais réellement pas à comprendre pourquoi.
Pourquoi ? Simplement parce que j’avais une âme de soumise, d’esclave, de salope, de pute. Je me sentais tellement inférieure à Véronique, moi qui étais, il y a encore peu, sa supérieure hiérarchique. A présent, je n’étais plus rien. Rien que son esclave, entièrement dévoué à son plaisir.
L’après-midi se déroula lentement. Je le passai étendue sur ma paillasse. De temps à autre, je me levais, me rendais devant un miroir et me contemplais, ainsi harnachée. Ensuite, je retournais m’allonger. Il m’arrivais également de manipuler les anneaux, les faisant tourner, glisser dans le trou de mes tétons, ce qui n’était guère facile. Ensuite, je tirais sur le ressort de ma chatte, distendant les lèvres, et, par la même occasion, titillant mon clitoris, mais sans pouvoir le caresser.
Comme nous étions vendredi, ma maîtresse rentra tôt, comme souvent le vendredi. Je me précipitai à sa rencontre, aussi vite que me le permettaient mes entraves, lorsque je pilai net. Il y avait quelqu’un avec elle. Quelqu’une, plutôt. Quelle ne fut pas ma surprise de voir, derrière Véronique, la silhouette ...
... ronde et rousse de Solène. Lorsque ma maîtresse s’écarta, je vis que Solène avait les yeux baissés. Son manteau était simplement posé sur ses épaules et je ne voyais pas ses mains. Je compris bien vite pourquoi, lorsque ma maîtresse m’ordonna de les débarrasser. La belle rousse avait les mains liées dans le dos, une paire de menottes la privant de liberté.
Un sentiment d’allégresse monta en moi. Solène, la belle Solène, objet de mes fantasmes avait enfin décidé de se rendre, de se laisser aller à sa nature cachée, que j’avais cru déceler, ce soir-là, à la réception où je m’étais dévoilée, en salope soumise. Depuis ce temps, plus d’une semaine, je n’avais eu aucun contact avec elle – pourquoi en aurais-je eu ? – et ma maîtresse ne m’en avait pas parlé. Et enfin, elle était là, devant moi, les poignets attachés par des menottes, tête baissée.
Derrière moi, j’entendis ma maîtresse me dire :
Eh bien, Cybèle, dis bonjour à ta nouvelle amie ! Tu peux l’embrasser !
Je m’approchai de Solène et déposai un baiser sur sa joue, au coin des lèvres. La belle rousse ne réagit pas. J’entendis Véronique rire et reprendre :
Allons, les filles, mieux que ça !
Alors, je pris Solène par les épaules, me penchai vers elle et posai mes lèvres sur les siennes. Ma langue lécha sa bouche, et elle ouvrit la sienne. Nos langues se mêlèrent en un tendre balai. Je me collai contre elle, épousant les formes de son corps, mais je n’osai la toucher, n’ayant pas reçu l’autorisation de ma ...