1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (31) : Hassan s’impose.


    Datte: 17/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... annonciatrices de l’orgasme, avait redoublé d’attention pour laper jusqu’à la dernière goutte.
    
    Avec des gémissements de bonheur, je m’accrochais de plus belle à Hassan en le serrant contre mon ventre, comme si je voulais le garder enfoncer au plus intime de mon être pour toujours, bien au-delà des derniers sursauts qui me faisaient encore trembler. Eperdue de reconnaissance, je lui enfonçais dans la bouche une langue frétillante, excitée de retrouver sur ses lèvres la saveur de sa propre liqueur intime.
    
    Tout en l’embrassant, je le caressais par-dessus le jean, pressant mes doigts sur la virilité dressée, le torturant sans pitié. Il n’y tint plus, se déshabillant fébrilement. Je m’emparais de sa verge que je masturbais. Il m’embrassa avec une telle sauvagerie qu’il me mordit. Les yeux fous, suffocante, je me redressais, lui offrant mes seins qui se dressaient comme des dards insolents. Hassan les prit à pleines mains, surpris encore par leur douceur, ravi de sentir les bouts réagir à ses caresses.
    
    Penchée sur son bas-ventre, je l’effleurai de mes lèvres, glissant la pointe de sa langue sur ses poils, à quelques millimètres du pénis. Il se cambra violemment, le sexe durci à lui faire mal. Je ne répondis pas à ses attentes, jouant avec ses nerfs. Il réussit à se contorsionner, collant son sexe contre mon visage, me suppliant de passer aux choses sérieuses.
    
    D’un coup, je le pris à pleine bouche, l’avalant presque entièrement d’une aspiration goulue, si voracement ...
    ... qu’il hoqueta de plaisir et de soulagement. Je le ressortis de ma bouche pour le happer encore plus profondément, allant et venant à une cadence accélérée, l’affolant de temps à autre d’habiles glissades de la langue pour faciliter la prochaine fellation. Hassan grognait de plaisir, se tordit en tous sens, pris de tremblements convulsifs à l’approche d’une éjaculation imminente.
    
    Je sentais qu’il était au bord de l’orgasme et j’arrêtais à temps, bien décidée à faire durer le plaisir, son plaisir et le mien. Je voulais être prise.
    
    Je remontais sur lui pour me déplacer au-dessus, me frottant fébrilement contre son sexe. Il ne fallut aucun effort pour qu’il s’enfonce en moi d’un puissant coup de reins.
    
    Je hurlais, la tête penchée en arrière. Il me saisit les fesses pour m’imposer son rythme, me percutant de fougueux déhanchements qui s’accélérèrent.
    
    Je me soulevais d’un coup de reins, retombais, m’empalant à fond, l’obligeant à modérer ses ardeurs pour lui donner sa cadence, plus lente et appuyée. Vaincu, il se laissa guider.
    
    J’oscillais sur lui, et chaque ondulation nous arrachait un long soupir animal.
    
    Bientôt, mes mouvements se firent plus impétueux, je me cambrais avec un frémissement incontrôlé, tendue et crispée, marmonnant des « oh oui ! » dans un râle extasié.
    
    Le mâle reprit alors le contrôle du coït. Soudés l’un à l’autre, nous copulions rageusement dans un rythme désordonné, emportés par la même frénésie sexuelle. Nous mêlions nos corps, nos cris, nos ...
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