1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (31) : Hassan s’impose.


    Datte: 17/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... le mont de Vénus, insinuant un doigt dans mon ouverture détrempée, me faisant très vite gémir.
    
    Hassan me fit alors un cunnilingus artistique.
    
    • Je veux ta chatte maintenant ! Je veux te lécher ! Dis-moi que t’en as envie !
    
    • Oui, oui…
    
    • Et tu veux que je le fasse ? Dis-le-moi…
    
    • Oui, oui, je t’en prie, fais-le…
    
    • Plus fort, crie-le haut et fort, lâche-toi !
    
    Il savait que Philippe, sans faire de bruit, était derrière la porte.
    
    Hassan me poussait à être un animal guidé par ses pulsions les plus primitives. Je le suppliais en criant :
    
    • Oui, oui, lèche-moi le sexe, je t’en prie !
    
    Hassan n’y tint plus. Il plongea littéralement sur mon bas-ventre, colla sa bouche sur mon sexe, s’attaqua sérieusement au sensible bourgeon qui se gonflait à la commissure de la féminité éclose. J’enfonçais sauvagement mes ongles dans les épaules de mon partenaire qui commençait aussi à gémir. Il collait sa bouche sur le clitoris qu’il aspirait en le titillant de la langue, un clitoris d’une longueur et grosseur surprenantes.
    
    Il le délaissa assez vite, préférant glisser sa langue dans le sillon humide, aussi loin que possible, allant et venant, s’acharnant impitoyablement. Je criais.
    
    Je n’existais plus que par cette chose vivante qui se frayait partout un chemin, explorait, tournoyait et vrillait, me sondant à m’en arracher l’âme. Je me laissais emporter, comme aspirée par une tornade dévastatrice qui bouleversait mes sens comme jamais.
    
    Un instant, j’eus la ...
    ... force de me redresser, pour voir. Il n’y avait rien de plus beau que cet homme viril, étendu entre mes jambes, fesses levées, la tête enfoncée dans la fourche de mes cuisses, en train d’explorer amoureusement mon sexe comme personne ne l’avait fait, avec un tel appétit qu’il semblait vouloir me dévorer vivante.
    
    Avec un râle d’abandon, je me laissais retomber sur le lit. Tétanisée par les brûlantes crispations qui incendiaient mon bas-ventre, ma croupe accentuait les profonds mouvements de houle qui l’agitaient. Je perdais le contrôle, criant, suppliant, divaguant, tétanisée par un tel foisonnement de sensations si délicieuses, si intenses, qu’elles en devenaient presque insoutenables. Impitoyable, Hassan accéléra la pression de sa bouche et la vibration de sa langue. Il empoigna à pleines mains mes fesses, y enfonça ses doigts, plaquant davantage le bas-ventre contre sa bouche vorace. Traits tendus, lèvres entrouvertes sur une plainte autant sensuelle qu’enfantine, je finis par me laisser aller. Mes doigts se crispaient dans la chevelure et j’accompagnais les mouvements de la tête pendant que ses hanches ondulaient.
    
    Je fus comme frappée par mille flèches brûlantes qui semblèrent me transpercer, et ce fut enfin l’explosion fulgurante, un orgasme fabuleux, extraordinairement puissant qui m’ébranla toute entière. Je fus incapable de contenir les spasmes qui partaient de mon bas-ventre, et continuais de me vider sur la bouche gourmande qui, ayant perçue les contractions ...
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