1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (31) : Hassan s’impose.


    Datte: 17/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    J’ai détaillé dans le texte précédent (récit n°30) dans quelles circonstances j’avais rencontré Hassan et comment nous étions devenus immédiatement amants.
    
    Cette rencontre n’était pas de celles que je collectionnais alors avec mes nombreux amants. C’était autre chose. C’était un coup de foudre réciproque. J’étais tombée follement amoureuse et, dès cet instant, Hassan me considérait comme sa femme et était bien décidé à occuper toute la place dans ma vie. Ce qui venait d’arriver était le risque que courent tous les couples candaulistes, à savoir que l’épouse tombe amoureuse de l’un de ses amants et que cela fasse alors exploser le couple. La candaulisme est un jeu délicieux mais qui consiste à jouer avec le feu. C’est ce qui venait d’arriver pour mon couple avec Philippe, malgré la force de nos liens que nous pensions indestructibles. Nous avions pris le risque, cette fois c’était arrivé.
    
    Pour l’instant j’étais devenue pleinement adultère. Pour la première fois depuis longtemps, j’avais découché sans avoir informé Philippe ni avant, ni après. Je ne me suis dit que Philippe m’avait toujours dit que j’étais entièrement libre de faire tout ce que je voulais. J’ai aussi pensé qu’il prendrait soin du bébé, c’est de cela que j’ai eu le plus honte.
    
    Philippe et moi avons une définition restrictive de l’adultère au sein de notre couple. Il n’y a pas adultère pour nous quand je couche avec un ou plusieurs autres hommes, dès lors que nous sommes dans un cadre candauliste, que ...
    ... Philippe est au courant et mieux, qu’il est présent. Quoiqu’en pensent beaucoup de gens, Philippe n’est pas un mari cocu, mais un mari candauliste.
    
    J’avais déjà été dans des situations d’adultère, par exemple à Rio (voir récit n°8), ou, plus récemment avec Pierre, le mari de Christine (récit n°15). Dans le cas de Rio, j’avais informé Philippe après coup et lui avait fait profité ensuite de mes ébats au téléphone. En ce qui concerne Jean, je reconnais que j’ai mis plusieurs jours à informer Philippe.
    
    Mais, dans un cas comme dans l’autre, il n’y avait rien de sentimental.
    
    Philippe, après avoir tenté en vain de me joindre sur mon mobile, très inquiet, avait fini par contacter Rachid. Celui-ci avait eu vite fait d’être informé par Kamel de ce qui s’était passé la veille. Kamel n’était pas très fier de lui. Il mit Rachid en garde. Il ne doutait pas que je m’étais offerte à Hassan.
    
    • Sache que mon frère est, d’après ce que je sais, un amant exceptionnel. Mais c’est surtout un homme de principes. Il est rigoriste et intransigeant. S’il la prise, désormais elle est à lui et à personne d’autre.
    
    Ce matin-là, je me réveillais dans les bras d’Hassan. Nous avions fait l’amour toute l’après-midi, la soirée et une bonne partie de la nuit.
    
    J’étais tombée follement amoureuse d’Hassan. Je ne parle pas seulement de ses muscles, de son visage, de ses yeux sombres qui m’avaient fascinée. Hassan était un athlète, beau comme un Dieu. J’étais en admiration devant son corps et ses ...
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