1. Une petite mission...


    Datte: 17/04/2020, Catégories: fh, gymnastiqu, douche, hdomine, cérébral, sf, fsoumisah, Auteur: Arkann, Source: Revebebe

    ... lorsqu’elle comprit mes intentions, soudainement tentant de me résister alors que je la forçais à me suivre dans la salle de bains. Même avec ses mains attachées derrière elle, elle me fit travailler très fort pour la faire entrer dans la douche. L’eau froide coulait toujours, et je me faisais moi aussi mouiller, mais moins, et la satisfaction valait bien un petit désagrément.
    
    Je la tenais coincée contre le mur, son corps directement sous le jet d’eau. Elle se débattait, et le risque de glissade était grand. Une décision, et je la laissai glisser, mais de manière contrôlée, la suivant. Assis sur le fond de la douche, je me faisais maintenant mouiller autant qu’elle. Au sol, il était plus facile de la maintenir en place. Elle le savait.
    
    — Ça va, Arkel. Tu gagnes.
    
    Elle me dit cela en claquant des dents, en frissonnant.
    
    Cette fois-ci, sa reddition était réelle. Elle allait être douce comme une brebis… pourvu que je n’ambitionne pas trop. La clef des menottes me prit une minute à trouver, et je la libérai.
    
    — Lave-toi. Lave-toi bien. Ne manque aucun morceau.
    
    Elle prit bien garde de ne pas montrer quelque hargne que ce soit.
    
    Elle se lava rapidement, mais avec soin, car elle savait que si elle tentait de couper les coins ronds, elle ne resterait que plus longtemps sous l’eau froide. Je ne détestais pas le petit spectacle, même s’il n’avait rien d’érotique. Elle me donna un regard quand elle eut terminé. Je la fis se tourner, mais elle ne m’avait donné aucune ...
    ... raison, et je hochai de la tête.
    
    Elle sortit rapidement après avoir fermé l’eau, et accepta ma serviette, transie. Quelques minutes de plus, et c’était à mon tour de sortir de la douche – une douche à l’eau bien chaude, pour faire changement.
    
    Elle était dans le lit, enroulée dans les couvertes. Je ne pouvais même pas lui voir la tête. Elle se dégagea un peu, me laissa avoir assez de couvertures, mais je compris rapidement que c’était un acte intéressé ; à peine glissé sous les couvertes, elle se colla contre moi. Elle était froide ! Elle m’agrippait fermement, comme pour m’empêcher de la fuir. C’était de bonne guerre.
    
    Elle me mordillait l’épaule, je la caressai, mes doigts explorant ce corps qui m’appartenait. Blottie contre moi, elle frissonna lorsque mes caresses vinrent à trouver ce tatou discret sur la fesse droite, cette marque qui l’identifiait comme étant mienne. Ma main était insistante, les doigts traçant chacune des lignes, lui rappelant que c’était elle qui était venue me voir, avait insisté pour que j’en fasse ma propriété. J’avais testé sa résolution dès le début de notre relation, et c’est ainsi qu’elle en était venue à porter ma marque.
    
    Elle sentait bon. Elle me caressait d’une jambe, une main derrière ma nuque, ses doigts caressant paresseusement. Elle frissonnait, parfois.
    
    Elle se crispa un peu alors que mes doigts commencèrent à suivre les endroits où sa chair avait été cruellement meurtrie par l’ennemi, torturée pendant des semaines. Plus rien ...