Les Plaisirs du Bourg
Datte: 17/04/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fff,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Lesbienne
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... posture, se met à quatre pattes sur le lit et mime la scène :
— Nous étions bêtes à deux dos à cet instant-là, moi, la tête dans mon coussin, croupe bien relevée à me faire sabrer avec entrain. J’ai glissé ma main sous mon ventre, attrapé son pieu que j’ai extirpé de mon bijou pour le glisser contre ma fente afin qu’il s’en vienne réveiller mon bouton…
Au grand dam de Kirsten, Soren a glissé sa main sous sa robe. La Comtesse, redoutant que sa cousine ne se trousse et n’expose les rondeurs de ses fesses, est prête à intervenir. Mais la jeune femme se contente de mimer la scène sous ses jupes.
— Après quelques instants, mes sens suffisamment échauffés… j’ai promptement dirigé le dard vers la rondelle de mon joufflu ! Je te jure qu’il n’a pas été besoin de demander quoi que ce soit pour que cette queue ne s’en vienne distendre mon petit trou ! Et inutile de me demander si c’était bon ! Bien sûr que ça l’était ! Trois doigts dans la chatte, je caressais même son braquemart au travers de mes chairs ! C’était trop bon !… Tu sais, c’est bon aussi quand ça fait mal ! Un peu…
Ahurie, interloquée par ces aveux et ce mime par trop explicites, Kirsten jette un regard affolé à Sylvette qui sourit de sa gêne et de sa candeur. La couturière pousse même la moquerie jusqu’à agiter son majeur dressé pour rappeler un souvenir récent à la Comtesse : celle-ci comprend le message et rougit en tortillant involontairement du bassin et en serrant les fesses.
Alors que Soren reprend ...
... posture plus décente et se rassied sagement sur le lit, la Comtesse, désireuse de retrouver bonne contenance, change de sujet et, gravement, énonce tout haut ce que beaucoup pensent tout bas :
— Les chaleurs n’expliquent pas tout. Je crois bien que la mort d’Ulrich est vécue comme une délivrance par beaucoup, la peur, si longtemps accumulée, s’exorcise comme elle peut ! Le peuple exulte… Et il vaut mieux que ce soit en bacchanales effrénées qu’en défilés bruyants, les campagnes se repeupleront !
— Ma foi, rien que l’orgie de l’aut’soir dans la cour basse du château risque de produire un joli lot de bâtards !
Soren, toujours vive, saisit l’occasion et demande :
— L’orgie ? Tu en étais donc ?
Ravie de décevoir la curieuse, Sylvette explique avec franchise :
— Ma foi non, j’ai jugé que cela n’était guère prudent ! Je reste une étrangère et gage que j’aurais eu à subir de nombreux assauts sans qu’on me laisse le loisir d’accepter ou refuser. Je me suis donc prudemment repliée chez moi pour observer… de loin…
— Pour observer… tapie derrière ton carreau…
— Et le spectacle en valait la chandelle … si j’ose dire !
Adoptant un air chafouin, Soren compatit faussement :
— Pauvrette ! Et pas de galant sous la main pour calmer tes ardeurs ? Tu n’avais donc que tes dix doigts pour…
— Soren ! intervient Kirsten, cesse donc de faire ta chattemite ! Tu ne trompes personne. Et Sylvette n’est pas forcément aussi…
— Tout doux cousine, la coupe à son tour Soren. Tu es mal ...