Les Plaisirs du Bourg
Datte: 17/04/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fff,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Lesbienne
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... Sylvette la repousse à son tour et rabat brutalement sa robe en remerciant assez fraîchement l’indiscrète soigneuse. Les deux cousines échangent un regard amusé.
— Je ne te voyais pas si prude, s’amuse Kirsten. Ainsi donc, tu nous repousses ? Nous non plus ne pouvons voir tes cuisses ? Cela te gênerait-il ?
— Non, bredouille la jeune femme, je serais malvenue de jouer la sainte-nitouche avec vous qui…
Sylvette ne termine pas sa phrase pour ne pas gêner la Comtesse devant sa cousine. Avec un petit rire, et un clin d’œil pour Soren, Kirsten conclut pour elle :
— … qui, il y a peu, ne t’a rien caché de son anatomie. Tu peux parler tu sais, je n’ai pas de secret pour Soren !
— Qu’est-ce à dire, interroge l’intéressée pourtant parfaitement au courant, dois-je comprendre que vous vous adonnez à certains jeux libertins toutes les deux ?
— Sylvette est experte en caresses et possède une petite langue friponne que je te recommande !
— Non, mais dites donc, s’insurge la couturière, ma langue m’appartient et je la glisse où je veux, quand je veux ! Le printemps vous fait décidément de l’effet ! C’est le vent du Sud qui vous échauffe tous ?
— Tous ?
— Ma foi oui, parbleu, depuis le retour du beau temps, c’est véritable frénésie ! On ne peut pas faire trois pas dans la campagne, tourner le coin d’une sente, se glisser entre deux masures au village, sans se faire entreprendre, sans tomber sur une gueuse à califourchon sur un manant, sans apercevoir la bête à deux dos ou ...
... tomber au milieu d’une orgie… À croire que c’est le premier printemps que vous connaissez, tous !
Soren avoue volontiers :
— Il est vrai qu’une sorte de folie galante semble s’être emparée de tous. Je suis moi-même tout à fait insatiable ! Au point d’avoir poussé mon amant à implorer grâce la nuit passée !
— Tiens donc, en profite Kirsten, je croyais qu’il t’avait besognée sans relâche toute la nuit durant !
— Toute la nuit, non point, je lui ai bien laissé loisir de se reposer un peu…
— Et combien de fois as-tu grimpé l’échelle des étoiles ?
— Trois fois, non quatre ! Cinq fois pour lui et quatre pour moi…
— Ma pauvre, ton minou doit te brûler encore.
— Oh, s’il n’y avait que lui ! répond Soren en se caressant les fesses.
Faussement choquée, mais réellement amusée, la Comtesse demande :
— Que dois-je ici comprendre ? Von Walsenhütt te prendrait-il pour son page ?
— Non point ! Je doute d’ailleurs qu’il apprécie jamais ce genre de relations ! Et pour tout te dire, ce n’est pas lui qui voulait, c’était moi !
— Tu lui as… demandé de… !
Franchement moqueuse, la cousine dévergondée explique :
— Pauvrette, tu as bien des choses à apprendre encore ! Je n’ai rien demandé, mais… je le voulais… et ce que femme veut…
— Mais… comment… as-tu…
La question lui est posée avec tant d’ingénuité que la belle ne peut s’empêcher d’en rire :
— Tu voudrais peut-être que je te fasse un dessin ?
Remarquant l’air gêné, mais implorant de sa cousine, Soren change de ...