Moi en toi
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
fh,
couple,
forêt,
amour,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
hdanus,
hgode,
jouet,
uro,
tutu,
amourdram,
nature,
Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe
... Plus tard, il trouverait sa place dans une boîte, pas dans un bocal plein d’huile à la couleur jaunâtre, comme ces animaux étranges que l’on conserve pour toujours. Je le sortirais régulièrement de son piège et je lui accorderais tous les hommages auxquels il a droit.
Tu comprends ? Est-ce que tu peux imaginer combien il me passionne ? J’aime sa forme, elle m’affole, quelle qu’elle soit, raide à en être parfois effrayante ou distendue et inoffensive en apparence. Ton sexe est accompli, harmonieux, un véritable modèle apuré, un peu comme celui des statues que l’on croise du regard dans le parc du château de Versailles. C’est un sexe romain ou grec, difficile de lui donner une origine, mais il n’est pas de pierre ou de marbre. Il est animé de toutes les émotions sensuelles qui prennent naissance quelque part dans ton corps et qui se répandent en des vagues sauvages, déferlantes d’envie et de désir. C’est un instrument pour mon plaisir. Un peu de sperme coule encore de ta verge, les dernières convulsions qui s’enfuient, espérant certainement m’échapper. Je l’aspire goulûment, il doit bien en rester, blotti dans un recoin, alors je le pompe à m’en couper le souffle. Ma langue un peu folle et excitée court sur le montant palpitant de ton gland. Elle creuse ta fente, cette coupure toute rouge, presque saignante qui refuse obstinément de s’agrandir davantage. J’aurais aimé m’y enfoncer pour te ...
... connaître encore mieux, même si je ne savais jamais tout de toi. C’est mieux ainsi, que ma curiosité ne soit jamais étanchée et qu’il y ait en permanence une part de toi qui m’échappe.
Les assauts de ma langue ne peuvent pas tout, même si je m’applique et te dévore, ton sexe se détend un peu, il s’assouplit enfin et j’en admire la courbure douce. Il ne peut pas demeurer aussi roide pendant des heures, à la longue il doit peser au bout de ton ventre. Tu souffres sûrement, tu dois être malheureux, une blessure d’amour tout aussi mortelle que les autres. Il se dégonfle aussi et glisse nettement mieux entre mes lèvres. Tu te rends compte, je l’avale totalement ! Regarde-moi : il est tout entier dans ma bouche. Il fond et rétrécit peu à peu, je peux le boire littéralement, le dévorer, je pourrais le croquer doucement sans y mettre les dents. Merci de me laisser m’accaparer de lui. Que j’aimerais être toi en cet instant bien précis pour savoir quel effet extraordinaire produisent mes lèvres et ma langue lorsqu’elles s’approchent gourmandes de ton sexe repu, mais encore vaillant ! Mon vagin, que tu dédaignes trop à mon goût, n’est-il pas aussi accueillant, aussi appétissant, aussi euphorisant ? Pourras-tu venir t’y glisser aujourd’hui, combler enfin ma terrible béance ?
À quoi songes-tu ? Quels sont les mots qui butent au bord de tes lèvres ? Vas-tu enfin me les dire ? Moi en toi, est-ce l’amour ?