Moi en toi
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
fh,
couple,
forêt,
amour,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
hdanus,
hgode,
jouet,
uro,
tutu,
amourdram,
nature,
Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe
... te déchirer la peau, à te faire saigner, hurler. Il termine enfin sa course inexorable. Je reprends l’initiative, à moi maintenant de le faire aller à mon rythme, afin que tu puisses ressentir toutes les émotions éprouvées par ton corps à la perception de cet intrus. Aller du plus fin au plus gros, le faire sortir puis replonger après quelques secondes d’attente et de relâchement de ta part, l’enfoncer tout au bout jusqu’à ce que je n’aperçoive plus qu’une pastille bleue. Tu mouilles et ne cesses de te tordre, quel goût a ce suc, ce mélange d’humeurs inconnues de moi ? Peut-être pourrai-je une fois encore, avant notre éloignement, venir lécher et savourer ce liquide, même s’il me surprend un peu.
Tu tangues de plus en plus, je ne comprends pas non plus les mots que tu prononces. Ton membre, regarde comme il est splendide, il a continué sa pousse majestueuse, tout y est non pas hors-norme, mais gonflé par des forces mystérieuses. Il ne vacille plus sauf quelques soubresauts à peine perceptibles. Il est brûlant comme un bâton de feu, un morceau de lave. Que va-t-il cracher ? Derrière, j’accélère mon étrange ballet et je le scrute, lui, palpé à peine par mes doigts qui ne font que l’effleurer. Schalck ! Voilà ! Quelle explosion ! Une première gorgée grasse et blanche, un gros crachat dont je n’ai pas pu suivre la chute. Où est-elle donc cette giclée ? Elle aurait pu venir obstruer ma bouche, l’inonder et déborder au-dessus de mes lèvres. Eh bien non, tu ne l’as pas voulu ...
... ainsi, car je ne lui aurais pas laissé la possibilité de fuir, je l’aurais déglutie lentement pour en apprécier toutes les saveurs. Je n’ai pas été assez vive, trop préoccupée par le spectacle de la dilatation de ton anus. Maintenant ton sexe expulse un gros filet plus clair, mais moins vigoureux. Il se répand sur ton gland, glisse dessous, se suspend dans le vide, s’étire, s’effile à ne plus être visible avant de disparaître lui aussi dans la terre.
Je ne peux pas me contenter uniquement de la regarder, cette sève onctueuse, il ne faut pas que j’en perde plus. J’adore la faire descendre au fond de ma gorge, la sentir plonger en moi et me nourrir de toute l’énergie qu’elle renferme. Pourtant, qu’il est gros ton sexe ! Vais-je pouvoir l’avaler ? Oui ! Alors, je me décide. Tu pousses comme un cri venu du fond de toi. Effrayée, je lâche l’objet bleu. Où va-t-il tomber celui-là ? Car maintenant, tu ne le retiens plus ! Il te faisait presque mal, tant son exploration a mis en feu toutes les parcelles de chair de ton conduit qui cherche à apaiser cette forme de souffrance, de déchirure intérieure qui te dévore. C’est vrai, c’est fort et puissant, et tout comme moi tu vacilles entre le plaisir fulgurant et une douleur indéfinissable.
Ton sexe est enfin dans ma bouche, il frémit à nouveau, il tremble et se gonfle comme un ballon de fête. Je pourrai peut-être le décrocher de ton ventre, le mettre au creux de ma main, avant de le glisser dans ma poche tout à côté de l’objet bleu. ...