1. Moi en toi


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fh, couple, forêt, amour, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, hdanus, hgode, jouet, uro, tutu, amourdram, nature, Auteur: Eroslibré, Source: Revebebe

    ... commencer à te déshabiller. Dois-je te mettre complètement nu ? Plus tard, ailleurs, je ne le crois pas, alors ici et maintenant. J’enlève ton blouson, j’ai envie de passer une main sous ta chemisette et de venir titiller les pointes très dures de ta poitrine, mais tu m’en empêches. Oui, je suis gourmande, moi aussi j’adore m’emparer de toi physiquement, que ton corps se fonde dans le mien, qu’il ne soit plus à toi uniquement. Puis je m’occupe de ton pantalon. Pourquoi toujours serrer aussi fort ta ceinture ? Je dois souvent tirer dessus et une fois encore tu viens à mon aide, pas trop si tu le veux bien. Les boutons métalliques et glacés que je n’aime pas trop se défont facilement, maintenant je peux écarter les pans de ton pantalon. Vais-je le faire glisser le long de tes cuisses ou simplement l’écarter suffisamment pour laisser place à ta verge ? Tu portes ton string noir, le plus échancré au tissu si doux que lorsque je te caresse sans l’enlever tu me demandes de l’écarter au dernier moment, tant il électrise la peau et la chair de ton membre. Est-ce que c’est à moi de le sortir de ton sous-vêtement si sexy ? Puis-je déjà le frôler, le parcourir, le redécouvrir ? Non. En es-tu certain ? J’attends pourtant, refrénant ma première pulsion. Je le contemple, il doit ressentir toute l’envie que mes yeux dégagent. Un drôle de rayon se concentre sur lui et les premiers effets ne tardent pas à se manifester. Il se réveille tout doucement, il s’étire, je le vois devenir serpent ...
    ... coulant sous ton string qui se tend. Il abandonne sa torpeur, il se déploie. Vois-tu, c’est cette métamorphose, dont je ne comprends pas toujours le processus, je ne le souhaite pas d’ailleurs, qui me fascine, qui me passionne, qui fait que je fonds vers toi.
    
    Il va vite quand même, je dirai que ta verge ressemble déjà à un beau morceau de bois, dont on aurait enlevé l’écorce. Il tremble, a-t-il froid ? Je peux le réchauffer, mais c’est à toi de l’extraire délicatement de ton string. J’observe sagement. Hop ! Le voilà dehors et je n’ai presque rien vu de cette délivrance. Ta main droite l’enferme trop, laisse-le respirer ! Mon appareil photo est aux anges, je prends ton gland de profil, j’en apprécie le bourrelet luisant et bien dessiné, plutôt imposant vu ainsi. Dire qu’il rentre en moi, y compris dans mon anus dont je ne t’ai pas encore donné toutes les clés. Je le saisis de face maintenant, puis par en dessous, il m’impressionne et m’enivre. Qu’est-ce qu’il s’agite ! Retiens-toi, tu risques de m’éclabousser. Voilà, écarte cette fente que j’y plonge mon regard ! Je suis déçue : même largement ouverte, elle conserve ses secrets. Comment se fait-il que tant de liquide puisse s’en échapper ? Voilà, prends-le bien comme cela fermement au creux de ta main. Tu n‘y arrives pas ! Il est trop tendu. Pourtant, tu t’efforces, tu contractes tous les muscles de ton ventre. Mais il ne sort que quelques gouttes, à peine un filet dont je pourrai suivre la trajectoire. Tu croyais expulser un ...
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