1. Ma sulfureuse tante Charlène (3)


    Datte: 15/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: JoLeBelge, Source: Xstory

    ... sentais du bout de mon gland ; encore un petit rien, et je la pénétrerais, mais elle s’arrêta au dernier moment.
    
    — Jure que tu ne diras rien à personne, sans exception !
    
    — Je le jure.
    
    Elle sourit.
    
    — Joyeux anniversaire...
    
    Sur ces mots, elle fit glisser ma verge entre ses lèvres encore suintantes de son orgasme. Je la pénétrais ! Ma verge disparut lentement entre ses cuisses jusqu’à ce que nos deux pubis se touchent. Enfin, je connaissais charnellement ma propre tante que je désirais tant ! Je me sentais au paradis !
    
    Son corps ondula avec langueur, malaxant ainsi ma bite confortablement installée en elle. Charlène accéléra son mouvement de bassin tout en m’embrassant ; puis, elle se redressa, majestueusement, bien droit, trônant, fièrement empalée sur ma queue. Je la tenais par les hanches tandis qu’elle posait ses mains sur mes cuisses et ondulait son corps de plus belle. Puis je l’attirais vers moi, l’enlaçais et m’appliquais à donner de petits coups de reins. Nous alternions amoureusement ainsi entre ondulation de son bassin et coups de bite.
    
    Nous nous accouplions pendant un moment, et alors que je la besognais, je ne pouvais m’empêcher de penser à tous ceux qui étaient passés avant moi. Je m’imaginais un nombre incalculable de clients profitant du bonus de ma chaudasse de tante. J’imaginais mon père en train de la baiser juste après avoir dit à ma mère qu’il l’aimait ou même son patron la mettre enceinte en échange d’une augmentation... L’engrosser, ...
    ... oui, cette idée me rendit fou ; mon désir pour ma tante était tel, que je voulais l’engrosser ! Et tant pis pour les conséquences !
    
    Cette simple pensée eut pour conséquence de rendre ma chevauchée plus vigoureuse, plus rapide et mes coups plus puissants. Mon corps transpirait ; le sien également. Elle menait la danse, mais ma virilité prit le dessus.
    
    Je la bousculai, la retournai sur le lit afin d’échanger nos places. Et après quelques échanges de caresses et de baisers, je la repénétrais aussitôt tout en la fixant des yeux. Ses gémissements de plaisir étaient pour moi une fierté.
    
    — D’accord... dit-elle entre deux de mes assauts... tu te... han ! Débrouilles... hum ! Pas mal.
    
    — J’ai beau, uhmf... n’avoir que, uhmf... dix-huit ans tatie... j’en ai déjà baisé pas mal.
    
    — Ça, c’est mon neveu !
    
    L’intensité montait crescendo, je la pilonnais de ma bite, tout son corps tremblait.
    
    — Prends-moi en levrette, qu’elle me lâcha euphorique.
    
    La plus primaire des poses. Soit, j’obtempérais. Je l’ai laissée se retourner, cambrer son bassin et écarter les cuisses. Puis, sans attendre, j’ai de nouveau enfoncé ma bite dans sa chatte luisante en chaleur. Fini la douceur ; fini les préliminaires. Ce fut avec bestialité que je la besognais à nouveau. Elle gémissait, le claquement de nos chairs se mêlait à nos soupirs de plaisirs. Je secouais son corps avec une force si bestiale qu’elle s’affaissa, la tête sur la literie, et geignit de plaisir au rythme de mes coups, de plus en ...
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