Ma sulfureuse tante Charlène (3) - Histoires de Sexe

Ma sulfureuse tante Charlène (3)

... Voilà ce qu’on va faire. Tu vas me bouffer la chatte, et si tu arrives à me faire jouir, je te laisserais me baiser ; c’est honnête, non ?

Voilà que ma tante me lançait un défi à présent, un défi que je comptais relever avec une grande détermination, mais je n’étais pas dupe. Vu l’expérience de ma tante, la faire jouir de ma simple langue ne serait pas chose aisée, surtout dans cette position.

— C’est honnête, oui.

— Trèèès bien, dit-elle en approchant son sexe de mon visage. C’est quand tu veux mon lapin.

Mais malgré mon âge, je n’en étais pas novice pour autant. Je me rendais compte que la patience était la clé qui m’ouvrirait les portes du paradis. Je posais mes lèvres sur le bas de son ventre et y appliquais de doux baisers. Je descendis, me rapprochant de sa fente petit à petit, jusqu’à l’embrasser autour de son sexe. Charlène ne réagissait pas, mais je continuais.

Voir de si près la chatte de femme mûre de ma tante était déjà un régal, mais pouvoir y poser mes lèvres était un véritable plaisir. Ma langue salivante d’envie lécha son intimité. D’abord ses lèvres saillantes, puis sa fente, de bas en haut, remontant jusqu’à la commissure. En lui lapant le minou, je sentis Tante Charlène commencer à mouiller. Mes préliminaires avaient fait effet, elle avait beau jouer les dures, elle succombait petit à petit.

Je lui enfilais un doigt qui glissa très facilement dans sa fente moite ; et avec, je masturbais son clitoris gonflé par l’émotion. Elle appréciait ...

... définitivement, car sa mouille ruisselant sur mes papilles gustatives devenait de plus en plus abondante. Mais franchement, je ne savais pas qui de ma tante ou de moi prenait le plus son pied, car laper son jus était un délice.

Enfin, je l’entendis pousser un léger soupir de plaisir, à peine audible.

— Oh... mais tu n’es pas si mauvais, cher neveu. Quelle surprise !

— Une de mes amies m’a beaucoup appris.

Elle rigola. J’accélérais la cadence de mon doigté et y joignais ma langue au même rythme. Je léchais son clitoris déjà bien dur, j’introduisis un deuxième doigt dans sa chatte humide, et je la baisai avec. Ma tante posa une main sur mes cheveux tandis que ses hanches ondulaient de plaisir. J’étais sur la bonne voie. Seul son plaisir comptait et il était à ce point efficace qu’elle en perdait l’équilibre, devant s’appuyer de ses fesses sur un meuble derrière elle.

Le va-et-vient de mes doigts devint rapide pendant que ma langue continuait à lécher son clitoris. Charlène se laissa aller. Je l’entendis gémir plus nettement, elle posa même sa deuxième main sur ma tête et me forçait à rester à son contact. C’est à ce moment que j’en profitais pour passer une main derrière elle afin de lui titiller l’anus. L’effet fut garanti. Et du fait de ses mouvements de bassin, mon doigt glissa facilement dedans. Elle beugla d’un cri de surprise très excitant. Mes doigts et ma langue s’acharnaient à la faire jouir, encore et encore, de plus en plus vite. Frénétiquement même, car ...