Ma sulfureuse tante Charlène (3)
Datte: 15/04/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: JoLeBelge, Source: Xstory
... les spasmes de son corps me signalaient qu’elle atteignait sa limite.
Sa respiration devint saccadée, et ses gémissements de plus en plus prononcés. Son corps entier trembla, se cambra. Ses cuisses se refermèrent sur ma tête tandis que ses mains plaquaient mon visage sur son sexe. Tante Charlène lâcha des cris de plaisir, elle se laissa aller dans un râle de satisfaction suivi d’un petit rire. Elle eut un bel orgasme dont le jus d’amour se répandit sur ma langue et mes doigts.
Tante Charlène dut prendre un instant de répit, lui permettant de reprendre son souffle.
— Ah misère, soupira-t-elle, comblée, tout en me caressant les cheveux, je ne m’y attendais pas à celle-là.
— Tu croyais que je n’y arriverais pas, pas vrai ?
— J’avoue mon lapin, mais ton jeu de langue est... acceptable... mince, tu en as un de ces sourires...
Eh oui, j’étais bien fier de moi et heureux de ce que ma victoire signifiait.
— Bon, reprit-elle, je suppose que tu as gagné ta récompense...
Charlène m’enlaça autour du coup et me roula une pelle magistrale. Sitôt notre baiser terminé, elle me prit la main et m’emmena vers sa chambre.
Sa chambre n’était pas bien grande : un lit douillet deux places ; un fauteuil design ; table de nuit et commode pour tout meuble ainsi qu’une lampe légèrement teintée de rouge qui donnait à l’ambiance lumineuse un ton érotique. Je me prenais à fantasmer ma tante ramenant ici les « bons clients » pour leur prodiguer un « bonus supplémentaire ». Mais ...
... en avait-elle vraiment ramené ? Ou, était-ce mon petit cerveau qui le fantasmait ?
Tante Charlène déboucla ma ceinture de ses propres mains, puis déboutonna mon pantalon. Elle m’aida à me déshabiller entièrement, nous rendant tout aussi nu l’un que l’autre. Puis elle m’enlaça par-derrière, et empoigna ma bite à demi molle.
— Alors mon lapin, dit-elle en me masturbant. On va baiser finalement. Mais évite de jouir au bout de trente secondes je te prie.
— Tu vas voir.
Mais ma tante ne se laissa pas faire, c’était elle la patronne. Tout sourire, elle me poussa sur la literie. Je me retrouvais allongé, la tête confortablement installée sur de gros coussins et ma verge pointant fièrement vers le plafond. Charlène grimpa sur le lit un genou après l’autre et vint, féline, coller ses lèvres sur les miennes. D’abord de petits baisers très érotiques, puis une franche embrassade langoureuse.
Ses embrassades sensuelles continuèrent sur mon torse, puis descendirent de plus en plus dans une myriade de baisers. Et après quelques coups de poignet sur ma verge, elle l’engloutit une fois encore bien au fond de sa bouche. Charlène me fit la grâce d’une douce fellation où je sentais sa langue se délecter de mon gland. Je posais avec tendresse une main sur son épaule et exultais en la laissant agréablement me sucer.
Mais cette gâterie ne dura pas. Elle revint vers moi, m’embrassa encore. Sa main plongea entre ses cuisses et guida ma verge pile entre ses lèvres vaginales. Je les ...