Ma sulfureuse tante Charlène (3) - Histoires de Sexe

Ma sulfureuse tante Charlène (3)

... vache.

— Ça te choque ?

— Pas vraiment, mais je ne pense plus le regarder de la même manière.

— Et il n’a pas bien résisté longtemps le « mari aimant ». Liens du mariage ? Tu parles. Enfin... ta mère n’en a jamais rien su, alors ne va pas cafter auprès d’elle.

Je m’avançais vers elle au point de la coincer entre moi et le meuble à tiroir derrière elle. J’enlaçais tendrement son corps nu en posant mes mains sur ses hanches. Elle me laissa faire.

— Je ne ferais jamais rien qui te fasse du tort Charlène.

Elle pouffa :

— Ne me dis pas que tu es amoureux de ta vieille tatie.

— Ce serait présomptueux.

— Bien. L’amour c’est que des emmerdes.

— Alors c’est purement sexuel.

— Tu es vachement têtu toi, tu veux fourrer ta queue en moi ? Ca te ferait plaisir si je me donnais à toi ?

— Ça me ferait plaisir de te faire plaisir.

Elle pouffa, encore :

— C’est bien ça le problème, je n’ai rien fait par plaisir. Quoique la vengeance est un plaisir en soi.

— Tu mens.

— Tiens donc ?

— Tout à l’heure, ta manière de danser, j’ai bien ressenti ton plaisir lorsque tu te déhanchais devant moi, ta passion lorsque tu enlevais tes vêtements, et ta gâterie tellement intense.

— Je vois que je n’ai rien perdu de mes talents.

— Je n’ai peut-être pas ton expérience, mais je sais tout aussi bien donner du plaisir.

— Quel vantard, tu juterais bien avant que je ne ressente le moindre signe d’un orgasme, mon lapin.

— Vérifions-le.

— ...

... Nathan...

— Ose me dire que tu n’en as pas envie.

Elle me regarda pensive, elle tapota sur sa cigarette.

— J’avoue...ça fait un petit moment que je n’ai plus baisé, surtout avec un jeune... Et tu me plais bien comme mec, mais tu es mon neveu. En plus, ta mère doit s’inquiéter de ne pas te voir revenir.

— Je lui ai dit que je dormais ici.

— Hé ben, tu n’as pas froid aux yeux, ta mère...

— Rien à foutre de ma mère, rien à foutre que tu sois ma tante. Je te veux !

— Merde ; qu’est-ce que tu es têtu ! Tu dois vraiment avoir envie de m’enfiler ta queue.

Je l’enlaçais plus sensuellement et caressais doucement ses bras tout en l’embrassant dans le cou. Tante Charlène pencha la tête et profita de mes baisers. Elle appréciait. J’avais bien compris mon erreur de tout à l’heure : à peine m’avait-elle montré ses seins, je m’étais précipité à les lui sucer. Non, cette fois j’attendrai, j’irai étape par étape afin de faire monter le plaisir en elle.

— Pour toi, je ferais n’importe quoi.

— Je vois...

— Je la couvrais de baisers sensuels et mes caresses devenaient de plus en plus viriles. Mais elle ne bronchait pas, tenant sa cigarette comme si de rien n’était.

— A genoux...

— Pardon ?

— Mets-toi à genoux, m’ordonna-t-elle avec le plus grand sérieux.

Surpris, j’obtempérais pourtant. Je me suis mis à genoux comme ordonnée, devant elle. Tante Charlène me regarda de haut, les bras croisés, elle tira une bouffée sur sa cigarette puis exhala la fumée.

— Hum... ...