1. Un cuisinier pour deux affamées


    Datte: 14/04/2020, Catégories: ffh, copains, amour, fsoumise, hsoumis, entreseins, Oral jouet, champagne, Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe

    ... bretelles subtilement brodées de l’ouvrage vont céder sous le poids de leur charge érotique (Leçon numéro deux : lui rappeler votre générosité…). Même si le papillon de satin blanc qui orne son entre seins semble battre des ailes pour inciter ses seins à s’envoler vers ma bouche (Leçon numéro trois : lui donner des ailes…), je sens monter inexorablement mon érection dans mon boxer (Leçon numéro quatre : soulever son enthousiasme !).
    
    Valérie enroule ses bras autour de mon cou et ondule des épaules pour faire rouler sa poitrine contre mon torse. Elle sait ce que provoquent sur la peau d’un homme les caresses de ses seins enveloppés de dentelle.
    
    Valérie sourit et mord sa lèvre en me regardant avec des yeux pétillants d’envie, puis elle frôle mon oreille avec le satin de ses lèvres en susurrant d’une voix alanguie :
    
    — Dégrafe-moi…
    
    Tina a dû raconter à Valérie que je ne sais pas résister à une femme qui m’attise comme ça. En plus, elle tend sa bouche entre ouverte vers moi comme si elle attendait que je vienne goûter sa langue.
    
    Je prends sa tête à pleines mains en m’affolant du contact soyeux de sa chevelure abondante. J’aimerais que son baiser dure une éternité : sa langue répond si bien à mes caresses dans sa blondeur ensoleillée. Je sens son plaisir dans le moelleux subtil de ses lèvres et dans la chaleur de son étreinte. Mais Valérie s’impatiente. Alors, tout en glissant mes lèvres le long de son cou jusqu’au creux de son épaule, je libère ses seins et je les ...
    ... admire enfin nus dans mes mains.
    
    Valérie est ravie de mon regard sur sa poitrine. Elle prend même la pose idéale pour mettre ses seins en valeur : elle joint ses mains derrière sa nuque et se cambre vers moi.
    
    — Ils te plaisent ?
    — Tu aurais le droit de me gifler si je disais non !
    
    Je suis fasciné par ses fruits généreux. On dirait deux pêches calibre XXXXL que la lumière s’amuse à arrondir avec des ombres satinées. Je lèche et je hume ses seins pour savoir s’ils sont parfumés comme ces fruits… Non. Valérie sent la brioche dorée tout juste défournée.
    
    Est-ce son bronzage qui fait montrer en moi ce fantasme de gourmand ? Il me vient une question surréaliste : combien de femmes arriveraient à garder leur poitrine intacte face à un homme si celle-ci était faite de deux brioches rondes ?
    
    oooOOOOooo
    
    Je suis intrigué : pendant que nous finissons de nous déshabiller, Valérie pelote et embrasse goulûment Tina sans qu’elle en soit gênée.
    
    — Vous m’en laisserez un peu ? Remarquez, je ne regrette pas de voir deux jolies femmes prendre du plaisir ensemble devant moi. Mais je ne savais pas que tu aimais ça, Tina.
    — Tu sais, Roc’, nous avons appris à apprécier nos caresses pendant les longues nuits passées ensemble à l’internat. Tu n’as pas essayé si c’était bien avec quelqu’un de ton sexe quand tu étais adolescent ?
    — Si. J’ai fait ça une fois avec un cousin. Ce n’était pas désagréable, mais je n’ai jamais recommencé. Je préfère trop les femmes ! Et ce soir, même s’il y ...
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