Un cuisinier pour deux affamées - Histoires de Sexe

Un cuisinier pour deux affamées

... avait le plus beau gay de la terre avec nous, je le regarderais seulement pour lui faire des pieds de nez en vous baisant toutes les deux.
— Tu n’y vas pas un peu vite en disant que tu vas nous baiser ? Valérie ? Tu crois qu’il aura le droit de faire tout ce qu’il veut de nos corps ?
— Bien sûr ! Ce serait dommage s’il n’avait pas le droit. Il me fait envie, ton Rocco !
— Alors, embrasse-le, Valérie. Et profite bien de lui !
— Dites donc ? Je fais tout ce que je veux ou tout ce que vous voulez ?
— Ah ! C’est notre piège ! Ce sera donc surtout ce qui nous plaît. Pas vrai, Valérie ?
— Oui ! Rocco ? C’est à notre tour de te cuisiner…
— Vous êtes bien gentilles, les filles. Mais je ne vois pas de préservatifs dans ce que vous avez préparé pour me passer à la casserole.
— Sois tranquille, Roc’. J’en ai discuté avec Valérie quand on a préparé la soirée. Nous sommes tous à jour dans nos tests M.S.T. et Valérie n’aime pas plus les préservatifs que nous. J’ai donc jugé qu’on pouvait s’en passer.

Tina se met à genoux devant moi puis elle saisit ma verge et la lèche comme un bâton de crème glacée en demandant :

— C’est tout de même meilleur comme ça, non ?
— Tu sais que ce n’est pas poli de goûter la nourriture avant les invités ?
— Tu as raison, Rocco. Elle est invitée pour tout goûter !

Elle tend mon sexe à Valérie :

— À toi l’honneur !
— Je n’ose pas le faire avant toi, Tina. C’est quand même ton homme !
— Rocco ? Tu as envie qu’on suce ta queue toutes les ...

... deux en même temps pour commencer ?
— Il faudrait que je sois impuissant pour refuser une telle demande, mademoiselle Tina ! Tu comptes faire comment ? Enfin… Comment voulez-vous jouer ?
— Assois-toi sur la chaise. Et viens avec moi, Valérie.

oooOOOOooo

Je m’assois et je laisse les deux filles s’installer à quatre pattes entre mes jambes écartées.

La vue de leurs superbes dos nus et leurs chevelures qui caressent mon ventre sans que je puisse voir leurs visages donne l’impression qu’elles sont à mes pieds uniquement pour mon plaisir. Je ne vois pas ce qu’elles font, mais je sens bien que ce sont les lèvres chaudes de l’une et la langue pointue de l’autre qui caressent ma verge de façon très excitante. Je sens même les doigts d’une main douce qui enveloppent et qui massent agréablement toute ma hampe. Quelle est celle qui me masturbe si bien ?

J’ai quand même un peu honte de me laisser aller à mon comportement de profiteur.

— Vous n’auriez pas plus soumise, comme position ?
— Tu te soumets bien à notre jeu. Autant que tu aie ta part de fantasmes ! N’est-ce pas, Valérie ? Hé ! Ne prends pas tout ! Attends-moi un peu !

Les petits rires que ces deux canailles échangent en suçotant mes boules me font penser à deux gourmandes se chipotant des cerises au pied d’un cerisier. Au diable les tabous ! Elles veulent être à mes pieds ? Je serais donc macho pour elles ce soir. Pendant qu’elles m’excitent si bien en jouant avec mon sexe, je profite sans vergogne de leur ...