Deuxième soirée en boîte
Datte: 14/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
noculotte,
Oral
Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe
... l’ordre de ne pas faire de bruit. Elle sortit une clef de la pochette Dior qui lui servait de sac et ouvrit une porte. Aussitôt elle m’attira à l’intérieur et referma consciencieusement à clef. Je compris de suite que nous étions dans sa chambre et que nous y étions arrivés par les escaliers de service. Le dancing devait certainement appartenir à l’hôtel. En fait, c’était une suite. La pièce principale était très grande, avec un lit immense, des fauteuils, un canapé, une table basse avec un seau à champagne garni… Le tout baignait dans une semi-pénombre, car les volets à lattes de bois à demi fermés laissaient entrer la lumière extérieure qui provenait du jardin. Une porte ouverte donnait sur une autre pièce que je ne visitai pas, mais qui semblait elle aussi de bonnes dimensions. Les portes-fenêtres entrouvertes donnaient sur un balcon qui devait s’étaler sur toute la longueur de la chambre. Quant à la salle de bains, que je découvris plus tard, elle était à la hauteur du reste. Le luxe ! Certainement la meilleure suite de cet hôtel.
Sans allumer ne serait-ce qu’une lampe de chevet, elle m’attira vers le lit.
— Déshabille-toi, chéri, j’ai très envie… murmura-t-elle. Et surtout, ne fais pas de bruit : je ne veux pas que mes voisines des autres chambres sachent que tu es là.
En disant ces mots, elle fit valser sa jupe et son pull sur un des fauteuils, mais conserva son soutien-gorge. Nu, je la rejoignis sur la couche et nous reprîmes nos caresses. Je commençai par ...
... l’embrasser goulûment dans le cou, ce qui la mit tout de suite en transe. Elle réagit comme d’habitude en se cambrant violemment, mais elle garda suffisamment de présence d’esprit pour étouffer une sorte de hennissement en se mordant le poignet. Pendant ce temps je lui fourrai la main entre les cuisses. Elle était trempée de mouille. J’ai rarement vu, depuis, une femme qui sécrétait autant de cyprine. Bien sûr, il y a lessquirting girls, comme disent les Américains. Mais ces dernières émettent des jets, comme une éjaculation mâle. Pour Béa, c’était le vagin qui sécrétait sans cesse une mouille un peu épaisse et visqueuse, très lubrifiante. Ça ne giclait pas : ça coulait.
Profitant du trouble causé par mon baiser dans le cou, je m’agenouillai au pied du lit et, mettant ses deux jambes sur mes épaules, je l’attirai vers moi pour lui bouffer la chatte. Quelques coups de langue sur son gros clito, et elle se tordit en gémissant. J’insistai jusqu’à ce qu’elle cesse de me serrer la tête entre ses cuisses et de me presser le crâne à deux mains contre sa moule.
Une femme qui jouit me fait toujours bander très fort ; aussi, dès qu’elle me lâcha, je me relevai et je vins planter ma bite dans sa moule toute chaude et bien baveuse. Inutile de dire qu’elle entra sans même que j’aie besoin de la guider. De suite, je me mis à limer, provoquant un petit bruit de succion bien agréable. Béa me prit les fesses et rythma notre coït sur un mode lent. Néanmoins, il ne fallut pas longtemps avant ...