1. Découverte avec une amie de ma mère


    Datte: 13/04/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, inithf, Auteur: Discret et élégant, Source: Revebebe

    ... entrave.
    
    Charlotte relève la tête à hauteur de mon ventre.
    
    — La découverte du corps de l’amant est toujours un vrai bonheur pour moi… Ces minutes rares, beaucoup ne savent pas les apprécier… Ce moment est pourtant unique… Il faut savoir apprécier ces instants… Vous avez vu, la confiance établie a fait disparaître toute gêne… J’ai beaucoup de plaisir à découvrir votre corps, tendu par le désir, je voudrais – sans jeu de mots – que cet instant dure. J’aime regarder votre corps tendu, balançant sous les pulsions du désir…
    
    À ma grande surprise, je ne ressens aucun embarras… L’éducation plutôt rigide que j’ai reçue chez les frères des écoles chrétiennes ne semble pas outragée. Un homme et une femme nourris, élevés et éduqués, respirant à la même altitude, peuvent tout se permettre, en toute confiance, en toute intelligence… seul le scandale, qui est la faute suprême contre la morale et le goût, doit leur servir de limite…
    
    Je me retrouve ainsi, nu comme un ver, dans le salon de mes parents, face à l’une des meilleures amies de ma mère ; amie qui a en plus été élevée au quasi-rang de tante… et je n’éprouve aucune gêne réelle. Les préjugés d’âge, de liens sociaux… tout a disparu, nous sommes, à l’instar d’Alice au pays des merveilles, passés de l’autre côté du miroir. Les règles n’ont plus la même valeur… Tout est enveloppé d’un sentiment diffus et trouble où se mêlent la confiance et le respect… Seul le sentiment de transgression, qui ajoute à mon plaisir, me ...
    ... raccroche au monde des lois, des règlements, des interdits, des obligations…
    
    Charlotte a posé ses mains sur mes cuisses. Nous ne parlons plus, j’ai fermé les yeux, la tête penchée en arrière j’essaye de résister à la tentation d’exploser… J’imagine le plaisir de l’instant qui va suivre, je pousse mon ventre tendu vers l’avant. Ses doigts glissent sur ma peau, contournent mes cuisses, remontent jusqu’à mes fesses dont ses mains se saisissent. Je sens le souffle de Charlotte sur mon ventre. Elle est toujours assise sur le fauteuil et s’est simplement avancée sur le bord du siège. Elle a dû écarter les jambes car je sens le frottement de la soie de ses bas de chaque côté de mes genoux. Une de ses mains abandonne le globe charnu dont elle semblait apprécier la douceur et tandis que l’autre suit délicatement le sillon qui sépare les deux hémisphères, elle revient se poser sur ma cuisse. Je suis prêt à éclater, la tension de mon ventre est à l’extrême, j’ai du mal à contrôler les pulsions de sang qui l’agitent. Les doigts s’insinuent lentement dans les courtes boucles de ma toison, avançant avec une lenteur calculée dont les effets s’apparentent au supplice. Son index suit l’arc tendu avant de le saisir avec une ferme douceur qui doit, je l’espère, mettre un terme à cette douce torture.
    
    Un souffle tiède caresse la chair turgescente. Pour la première fois de ma vie, une femme va m’offrir l’intime caresse de ses lèvres. J’ouvre les yeux, c’est agréablement insupportable. Je vois les ...
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