Découverte avec une amie de ma mère
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
inithf,
Auteur: Discret et élégant, Source: Revebebe
... toujours ces premières marques d’une pudeur naturelle… Vos maîtresses vous en sauront gré… Douceur, patience, respect de l’autre doivent accompagner vos premiers pas… Vous verrez que, petit à petit, elles se libéreront de leurs préjugés… et qu’elles se livreront tout entières à la hardiesse de vos caresses et, que les leurs en retour se feront de plus en plus audacieuses. Il n’est rien, sous l’effet du plaisir, qu’une femme ne refuse à la condition qu’elle se sente respectée.
Tout en parlant, Charlotte a posé ses mains sur ma poitrine, caressant mon jeune torse, agaçant la pointe de mes pectoraux jusqu’à leur érection. Un doux frisson parcourt mon ventre et je m’aperçois que la bosse qui déforme mon pantalon a repris de la vigueur. Avec un naturel très composé, ses mains descendent progressivement sur mon ventre et jouent maintenant avec la ceinture de cuir.
Avec une habilité qui me surprend, elle en défait la boucle et s’arrête. Je baisse les yeux et rencontre le gris vert des siens… Les reflets des dernières lueurs du feu de la cheminée jouent dans ses mèches blondes et grises. Son visage, qu’elle souhaiterait impassible, trahit cependant une forte émotion. Peut-être la conscience de braver un interdit…
— Voulez-vous enlever votre pantalon !
Ces quelques mots presque chuchotés auraient, en d’autres circonstances, claqués comme un coup de chambrière. Dans cette ambiance empreinte d’érotisme confiant, ils ne me choquent pas. Au contraire, il me semble naturel de ...
... satisfaire cette demande exprimée comme une prière. Le plaisir de l’autre pour source de son propre plaisir me paraît être une évidence.
Je défais la boucle de ma ceinture et déboutonne les boutons qui ferment mon pantalon de toile beige. Je le baisse lentement jusqu’à mi-cuisses et le lâche… Il glisse le long de mes jambes et va rejoindre la chemise qui gît déjà à mes pieds.
— Dites-moi, Pierre, vous pensez à moi de temps en temps ?
Elle a baissé la tête en parlant et a les yeux fixés sur mon caleçon tendu à hauteur de ses yeux. Gagné par sa stratégie de mise en confiance, je lui réponds avec un naturel qui m’aurait, quelques minutes plus tôt, paru frôler l’indécence.
— Oui, je pense à vous souvent…
— Toute la journée ?
— Un peu, mais surtout le soir quand j’éteins la lumière.
— Vous y pensez comment ?
— Ben, euh…je veux dire… comme à une femme.
— C’est-à-dire ?
— Je pense que vous êtes avec moi, que je… que vous êtes nue… et que je vous caresse… et que vous me caressez…
— Vous prenez plaisir à ces pensées…
— Oui…
— Vous vous contentez de rêver ?
— Euh… non, pas vraiment….
— Que faites-vous alors?…
— … Je me caresse…
— Cela vous rend heureux ?
— Oui… beaucoup.
Tout en parlant, Charlotte a glissé ses doigts sous l’élastique de mon caleçon qu’elle baisse lentement, l’écartant pour libérer la raideur de la jeune tige qui tend le tissu. Je sens le coton glisser le long de mes jambes. Sans un mot, elle soulève mes pieds et les libère du tissu qui les ...