1. Découverte avec une amie de ma mère


    Datte: 13/04/2020, Catégories: fh, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, journal, inithf, Auteur: Discret et élégant, Source: Revebebe

    ... manucurés. Je suis du regard l’arabesque de sa main qui remonte vers sa bouche. Arrivés à quelques centimètres de ses lèvres ses doigts lâchent malencontreusement le gâteau qui rebondit sur sa jupe et atterrit sur le tapis. Instinctivement, je bondis de mon fauteuil et me penche pour le ramasser.
    
    À genoux à ses pieds, je ramasse les miettes. Mes yeux, fixés sur les escarpins noirs, dont une fine lanière enserre la cheville, remontent le long de la jambe gainée de gris. Je suis littéralement hypnotisé par la longueur de ses jambes. Je suis lentement la couture du bas, le galbe du mollet, le creux du genou jusqu’à la barrière de tissu sombre de sa jupe. Cette remontée n’en finit pas.
    
    — Eh bien Pierre. Je crois que les miettes sont plus nombreuses que je l’imaginais. Vous vous donnez bien de la peine. Françoise les ramassera demain en passant l’aspirateur.
    
    Désarçonné je tente de me redresser en espérant naïvement que mon trouble passe inaperçu.
    
    Mon mouvement est stoppé par une main posée dans mes cheveux. Doucement, mais avec fermeté, elle me maintient à genoux.
    
    — Vous savez Pierre, je pense – et ne crois pas me tromper – que ce sont plutôt mes jambes qui vous intéressent. N’est-ce pas ?
    
    Abasourdi, je tente à nouveau de me redresser.
    
    — Non, non, Pierre, restez ainsi, ne bougez pas. Je ne voudrais pas vous arracher à ce qui semble vous fasciner. Laissez-vous aller, profitez de la situation. Je crois m’être aperçue depuis plusieurs semaines de votre intérêt, ...
    ... disons un peu marqué, pour ma personne… C’est très flatteur, vous savez… Vous êtes adorable.
    
    Tout en parlant, Charlotte s’est penchée légèrement vers l’avant et avec sa main libre a saisi la mienne. Elle la dirige et la pose sur la courbure de son pied.
    
    — Vous savez Pierre, que votre intérêt ne me laisse pas indifférente. Je vous trouve charmant… touchant et peut-être davantage…
    
    Sa voix est à peine perceptible, un souffle léger, profond.
    
    — N’ayez pas peur… Je sais que cela vous fait plaisir. Ne le boudez pas… il est d’ailleurs partagé… Nous sommes entre adultes, n’est-ce pas ?
    
    Flatté et étourdi par ces paroles inattendues, je reste immobile.
    
    Je sens son autre main jouer avec les boucles de mes cheveux, descendre le long de ma nuque, caresser mes oreilles et mes joues.
    
    Enhardi, je bouge légèrement ma main et m’arrête sur la lanière de cuir de ses escarpins vernis.
    
    — Vous voyez Pierre, ce n’est pas si dur que cela. Continuez… Pensez que j’en tire autant de plaisir que vous.
    
    Ma main suit le chemin que mes yeux ont exploré quelques instants plus tôt. La courbure du mollet, le léger bourrelet de la couture qui serpente le long de ses jambes. Le creux tiède de ses genoux. Sa main guide la mienne d’une pression légère. Je remonte lentement le long des cuisses et parviens à la lisière de la jupe.
    
    Où m’arrêter ? Je ne me pose même pas la question. Je suis dans un état second. Le bout de mes doigts frôlent l’ourlet de la jupe, Charlotte avance légèrement ...
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