Découverte avec une amie de ma mère
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
journal,
inithf,
Auteur: Discret et élégant, Source: Revebebe
... son bassin pour faire remonter la jupe. Ses doigts se crispent légèrement en glissant ma main sous le tissu.
Une bosse commence à déformer mon pantalon de toile.
Je continue ma lente progression et bute sur la fermeture métallique d’un porte-jarretelles. Je ne peux plus m’arrêter, craignant qu’en un instant ce rêve prenne fin au hasard d’un caprice ou d’un ressaisissement. J’ai dépassé le bord roulotté du bas et touche pour la première fois la chair de Charlotte… «Daha Yumuchak » m’apprendra plus tard une amie turque en parlant de la douceur de l’intérieur d’une cuisse. Une seconde, un siècle plus tard… le bout de mes doigts, plongeant vers l’intérieur de ses cuisses rencontrent, dans la moiteur de l’entre-jambe, la soie d’une culotte.
— Eh bien, vous voyez Pierre, ce n’est pas si compliqué… Mais, relevez-vous maintenant, il faut apprendre la patience. J’aimerais, moi aussi, mieux vous connaître… Laissez-moi à mon tour satisfaire ma curiosité.
Je me relève, à la limite de la syncope. J’ai l’impression que tout mon sang s’est concentré dans ma tête et… dans mon sexe.
Redressé, les jambes flageolantes, le souffle court, je me tiens maintenant, un peu gauche, en face de Charlotte. Je n’ose pas lever les yeux, de peur que le charme ne se brise.
— Regardez-moi Pierre, n’ayez pas peur… Je vous fais peur ?
Sans me laisser le temps de répondre, ce que d’ailleurs je suis incapable de faire, elle continue :
— Vous savez, j’ai remarqué depuis plusieurs ...
... semaines que je ne vous laisse pas indifférente. Au début, je n’y ai pas fait attention, vous n’étiez qu’un adolescent ; le fils de ma meilleure amie de surcroît… Et puis, votre insistance à vouloir m’ouvrir la porte, votre obligeance empressée à m’aider à enlever mon manteau. Vos regards appuyés. Cette manière de caresser mes épaules. Le frôlement de votre main sur ma poitrine. Je me suis rendu compte que vous n’étiez plus un enfant. D’ailleurs, le trouble apparent qui déforme votre pantalon en dit plus long que toutes vos dénégations.
Je baisse les yeux sur le devant de mon pantalon, déformé par une irrésistible pression que je tâche désespérément de masquer derrière mes mains croisées. J’esquisse, gêné, un pas en arrière arrêté par les mains que Charlotte vient de glisser derrière mes cuisses.
— Vous avez peur ? À votre âge…
— Non ! dis-je dans un souffle
— Alors, restez. Je vous ennuie peut-être ? Vous voulez retourner travailler ?
— Oh, non, pas vraiment…
— Vous savez, vous n’êtes plus un enfant… Vous êtes surpris de l’intérêt que je vous porte ? Vous me trouvez peut-être trop vieille… C’est cela ?
— Oh ! Non, je vous trouve très belle… vraiment très désirable… répondis-je, inconscient de la hardiesse de mon aveu…
— Eh bien ! … Aveu pour aveu, moi aussi je vous trouve adorablement désirable. Enlevez vos mains, vous n’êtes plus un enfant et ce désir que je devine à l’évidence, n’est pas honteux… C’est, vous le savez, une des différences entre nous… Les femmes ...