Mourir de plaisir
Datte: 12/04/2020,
Catégories:
fh,
couple,
parking,
amour,
volupté,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
init,
méthode,
journal,
Humour
Auteur: Karine2x, Source: Revebebe
... enfle à chaque violent coup de rein de Pierre. Je couine, je râle, je supplie, j’ordonne :
— Chéri, continue, continue comme ça, retiens-toi. Interdiction de jouir.
Je manque d’air, je ferme les yeux car je vois trouble, je balance ma tête de droite à gauche, je creuse les reins, je crie, sentant la vague continuer de grandir sans éclater, atteignant un niveau inconnu. Je ne suis plus qu’un vagin, un vagin défoncé qui va exploser de plaisir… Punaise, je vais m’évanouir avant de jouir… Tant pis, j’abandonne, je consens à mourir de jouissance… Oui… Oui… Oh ! oui.
Un nouveau coup de rein, il est encore plus dur, plus gros, plus violent. La vague gigantesque déferle, me tétanise le ventre, lui pressure le sexe. Il m’accompagne, il éjacule. Je hurle avec l’impression de basculer avec lui dans le néant, soudés l’un à l’autre.
Punaise… j’ai réellement failli perdre conscience…
— Oh, chéri, reste en moi, ne te retire pas tout de suite, embrasse-moi, serre-moi fort, implorai-je.
Je le ceinture avec mes jambes pour le bloquer, le temps que mon cœur se calme… Un sentiment de plénitude, un besoin immense de tendresse et d’amour.
— Je n’ai jamais joui comme ça, expliquai-je, c’était inouï, complètement différent, purement vaginal, d’une intensité incroyable.
— Comment ça, « différent » ?
— C’est plus long à venir qu’un orgasme clitoridien mais ça n’arrête pas de monter. Comment t’expliquer ? C’est moins électrique, moins localisé, mais c’est plus profond, plus ...
... puissant. L’un est une Formule 1, le second un camion de 35 tonnes. Tu vois ?
— Très vaguement.
— Chéri, tu as été génial, comment tu as fait pour résister si longtemps en me défonçant comme ça ?
— À cause du premier round au parking.
— Tu crois qu’à force de me masturber avec le gode, j’ai pu augmenter ma sensibilité vaginale ?
— C’est fort possible. Mais le mieux pour ça, ce sont des boules de geisha. Je vais t’en offrir.
— Tu te rends compte, si je n’ai plus besoin de me frotter le bouton, on va pouvoir jouir ensemble dans toutes les positions… mon rêve !
Pierre, qui se ratatine, se retire en m’embrassant.
— Karine, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t’annoncer.
— Quoi ? répondis-je, un peu inquiète.
— La bonne, c’est qu’ils m’ont fait venir à New York pour me donner plus de responsabilités dans les achats du groupe. La mauvaise, c’est que du coup, je pars en Chine en janvier, c’est l’époque des salons.
— Oh, non ! Combien de temps ?
— Une quinzaine de jours.
— Vas-tu au moins être augmenté ?
— C’est fait. Chérie, tu sais qu’en bas, porte-jarretelles et avec ton sexe qui dégouline de sperme, tu fais demoiselle de petite vertu ?
— Ça te plaît ?
— J’adore. Caresse-moi un peu, mon cœur, que l’on recommence.
En amour, les mots n’ont pas la même signification chez les hommes et chez les femmes. Quand mon Chéri me demande : « Caresse-moi », cela veut dire : « Branle-moi ma grosse quéquette, suce-la bien, fais-la gonfler au max. »
Vous voyez ? ...